Accord d’Alger : l’accord de la distraction !

Avr 14, 2015 - 07:12
Avr 14, 2015 - 07:12
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[caption id="attachment_203819" align="aligncenter" width="610"]Le MNLA demande le feu vert pour utiliser son armement "contre les terroristes" Un groupe du Mnla[/caption] Informé par le médiateur de la volonté des groupes armés de la Cma à parapher l’accord après un mois de promenade infructueux et inutile à désapprouver ledit accord, le Premier ministre malien a réuni la classe politique et les forces vives de la Nation pour apporter la bonne nouvelle et mettre ensemble les intelligences pour aborder le tournant décisif, c'est-à-dire la signature de l’accord en terre malienne le 15 avril 2015. Cette bonne nouvelle a été pour le Premier ministre et l’ensemble des Maliens de courte durée puisque ces bandits du Mnla ne tarderont pas à démentir l’information. À travers leurs différents communiqués, pour eux, il n’a jamais été question du paraphe de l’accord le 15 avril prochain. Ils estiment que leurs aspirations n’ont pas été prises en compte et il est difficile pour eux de parapher un tel document. À travers ce refus des bandits du Mnla à parapher ce document, il est temps que la Communauté internationale siffle la fin récréation et prenne ses responsabilités. Ces bandits sont capables de s’allier avec les terroristes pour capoter ces négociations. Avec le Mnla, il faut s’attendre à tout, sauf au bien. C’est pourquoi, à défaut d’une véritable réaction de la Communauté internationale à faire fléchir ces bandits, les Fama doivent veiller sur leurs positions pour ne pas être victime d’une surprise désagréable de la part de ces hommes sans morale. Mieux, les Fama doivent préparer la reconquête du territoire perdu. Car, cette question de paix durable et définitive ne se résoudra que par les armes. Il faudra que les Fama aillent chercher cette paix tant attendue par le peuple malien par une sévère correction à ces bandits de tous acabits. L’attitude des Nations-Unies d’être de simple «spectateur», n’est pas de nature à ramener la paix au Mali. Jamais, des condamnations fermes de la part des Nations-Unies, si comme elles ont des intérêts avec ses bandits. Or, en République démocratique du Congo, elle a pris ses responsabilités pour faire fléchir les rebelles. Et c’est la même situation qui se présente au Mali et les Nations-Unies semblent être impuissantes à ramener l’ordre. Alors, le peuple malien doit comprendre que son destin est entre ses mains et qu’il faut arrêter ces querelles de personnes pour se retrouver autour de l’essentiel, c'est-à-dire le Mali. Afin de préserver  nos frontières  intactes. Source  :  L'Oeil , STT

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