Affaire APEJ : L’ex-ministre Sina Damba libérée hier
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Sina Damba[/caption]
Pour « crime d’atteinte aux biens publics, délit de favoritisme et fractionnement de marchés », l’ex-DG de l’APEJ Sina Damba placée sous mandat de dépôt et écrouée à la prison de Bollé depuis deux mois, a bénéficié hier d’une liberté provisoire.
L’ancien ministre sous ATT et ancienne Directrice Générale de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ), Maïga Sina Damba placée sous mandat de dépôt et écrouée en Août dernier, à la prison pour femmes et enfants de Bollé, a bénéficié hier de la liberté provisoire. Elle est, en effet, inculpée, avec deux autres anciens directeurs généraux de l’APEJ, de » crime d’atteinte aux biens publics, délit de favoritisme et fractionnement de marchés «.
Après plusieurs convocations au Pôle économique et financier de Bamako, Maïga Sina Damba a été écrouée par Broulaye Kéïta, Doyen des juges d’instruction en charge de la lutte contre la corruption et la délinquance financière. Elle avait, en effet, fait de la résistance en refusant de déférer à la convocation du juge régulièrement servie pendant plus de trois semaines. Un mandat d’arrêt fut alors lancé contre elle.
NB
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Pour « crime d’atteinte aux biens publics, délit de favoritisme et fractionnement de marchés », l’ex-DG de l’APEJ Sina Damba placée sous mandat de dépôt et écrouée à la prison de Bollé depuis deux mois, a bénéficié hier d’une liberté provisoire.
L’ancien ministre sous ATT et ancienne Directrice Générale de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ), Maïga Sina Damba placée sous mandat de dépôt et écrouée en Août dernier, à la prison pour femmes et enfants de Bollé, a bénéficié hier de la liberté provisoire. Elle est, en effet, inculpée, avec deux autres anciens directeurs généraux de l’APEJ, de » crime d’atteinte aux biens publics, délit de favoritisme et fractionnement de marchés «.
Après plusieurs convocations au Pôle économique et financier de Bamako, Maïga Sina Damba a été écrouée par Broulaye Kéïta, Doyen des juges d’instruction en charge de la lutte contre la corruption et la délinquance financière. Elle avait, en effet, fait de la résistance en refusant de déférer à la convocation du juge régulièrement servie pendant plus de trois semaines. Un mandat d’arrêt fut alors lancé contre elle.
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