Aide au Développement : L’Afrique peut-elle s’en passer ?
![Aide au Développement : L’Afrique peut-elle s’en passer ?](uploads/news/images/2014/01/Afrique2.jpg)
Gel nails first appeared in the U.S. in the early 1980s, https://modelones.com but were met with limited success. At the time, Nail gel polish the manufacturers of gel lights and the gel itself had not joined forces, gel nail polish color set not yet recognizing the need to precisely match the intensity of the light to the photoinitiators in the gel.Best gel nail polish Nail techs and clients soon found out that using the wrong light or applying too much gel caused a burning sensation on the client’s fingertips.luxury nail gel Additionally, education on gel application was limited, leaving nail techs in the dark about the product, and home-use systems were introduced around the same time, damaging the reputation of salon-use systems by association.Nail care gel nail polish Il faut que l’aide au développement s’oriente plus à aider les pouvoirs publics et les acteurs économiques privés à créer les conditions-cadres nécessaires à l’autonomie décisionnelle et à l’essor des économies africaines. Cela veut dire que l’aide devrait être davantage orientée non seulement vers la formation de l’homme à la responsabilité, mais, qu’elle devrait aussi contribuer à adapter la formation le plus possible à la vie économique locale et aux besoins de changement des entreprises. Il faudra définitivement rompre en Afrique avec l’idée selon laquelle, la réussite sociale passerait par l’acquisition du statut de fonctionnaire de l’administration publique. Il faudra réconcilier l’école et l’Etat avec l’entreprise. Aider à créer des conditions-cadres veut aussi dire aider l’Etat à créer un environnement favorable à l’éclosion des entreprises et instaurer une gouvernance, garante de la bonne gestion de la chose publique et d’une grande participation de la société civile et de la population en général à la gestion de la cité. Créer les conditions de l’essor économique Il faut aider les paysans par la formation technique, par l’investissement à long terme, l’accès au crédit, la gestion rationnelle, à transformer leurs exploitations familiales en véritables entreprises qui ne se contentent plus de la seule autosubsistance, mais qui dégagent des surplus et gagnent de l’’argent. L’Afrique vit une asymétrie terrible en matière d’information économique internationale. Des acteurs économiques locaux dynamiques et civiques émergent. Ils cherchent à développer des affaires avec l’extérieur. Ils sont à la recherche de partenariats d’affaires pour proposer des produits à l’exportation, pour accéder aux mécanismes internationaux de financement ou pour saisir des opportunités d’investissement en partenariat avec des entrepreneurs extérieurs. Des Africains vivant à l’extérieur en contact à la fois avec les milieux de l’entreprise, des pouvoirs publics africains et le rand des affaires pourraient jouer parfaitement ce rôle d’intermédiation Amadou Diallo Enseignant à Faladjè
Quelle est votre réaction ?
![like](https://site.maliweb.net/assets/img/reactions/like.png)
![dislike](https://site.maliweb.net/assets/img/reactions/dislike.png)
![love](https://site.maliweb.net/assets/img/reactions/love.png)
![funny](https://site.maliweb.net/assets/img/reactions/funny.png)
![angry](https://site.maliweb.net/assets/img/reactions/angry.png)
![sad](https://site.maliweb.net/assets/img/reactions/sad.png)
![wow](https://site.maliweb.net/assets/img/reactions/wow.png)