Après être déboulonné du CNJ-Mali : Abdoulaye Touré devra être entendu par la justice
Depuis quelques mois, l’instance dirigeante des jeunes du Mali est dans l’impasse. En effet, si Abdoulaye Touré et Oumar Maïga entretiennent un certain bicéphalisme au Conseil national de la jeunesse du Mali, il n’en demeure pas moins vrai que le premier est lui intéressé, au premier chef, par la vie mondaine qu’il pourrait mener en mettant pleinement à contribution les jeunes du Mali pour qui il est déjà tombé dans les oubliettes.
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Abdoulaye Touré[/caption]
Sans prétention de nous substituer à la justice, il est évident qu’Abdoulaye Touré ne pourra plus défendre les intérêts des jeunes du Mali, de qui il vit à équidistance.
Aux premières heures de sa création, évoluer au CNJ-Mali supposait consentir, de façon bénévole, un sacrifice en vue de l’épanouissement de ses pairs. Avec Abdoulaye Touré et associés, on assiste à tout le contraire. Son séjour au CNJ a inexorablement contribué à creuser le fossé entre lui et ses camarades jeunes en république du Mali. Sans donner raison au jeune Oumar Maïga, son grand rival, il y a quand même nécessité de voir clair dans le prétendu détournement de 2 milliards de FCFA et 400 motos par le bureau de M. Touré qu’il a révélé à la faveur d’une sortie médiatique organisée au lendemain du congrès extraordinaire du 21 mai dernier qui l’a porté à la tête de cette instance.
Sans ouvrir le procès de M. Touré, il convient, par ailleurs, de relever qu’Abdoulaye Touré mène quand même une vie mondaine, nettement au dessus de la bourse de tout fonctionnaire malien. Ses maisons à n’en pas connaître le nombre, son parc automobile et ses multiples sorties à l’international indiquent, si besoin était, que Abdoulaye Touré devra, pour être en odeur de sainteté et clean avec sa conscience, être entendu par la justice qui tente de redorer son blason avec l’arrivée de personnes dites intègres dans les différentes juridictions du pays.
Ceci est d’autant regrettable quand on sait que c’est une personne d’une telle moralité qui dirige le bureau panafricain des jeunes.
A Tounyatigui
Abdoulaye Touré[/caption]
Sans prétention de nous substituer à la justice, il est évident qu’Abdoulaye Touré ne pourra plus défendre les intérêts des jeunes du Mali, de qui il vit à équidistance.
Aux premières heures de sa création, évoluer au CNJ-Mali supposait consentir, de façon bénévole, un sacrifice en vue de l’épanouissement de ses pairs. Avec Abdoulaye Touré et associés, on assiste à tout le contraire. Son séjour au CNJ a inexorablement contribué à creuser le fossé entre lui et ses camarades jeunes en république du Mali. Sans donner raison au jeune Oumar Maïga, son grand rival, il y a quand même nécessité de voir clair dans le prétendu détournement de 2 milliards de FCFA et 400 motos par le bureau de M. Touré qu’il a révélé à la faveur d’une sortie médiatique organisée au lendemain du congrès extraordinaire du 21 mai dernier qui l’a porté à la tête de cette instance.
Sans ouvrir le procès de M. Touré, il convient, par ailleurs, de relever qu’Abdoulaye Touré mène quand même une vie mondaine, nettement au dessus de la bourse de tout fonctionnaire malien. Ses maisons à n’en pas connaître le nombre, son parc automobile et ses multiples sorties à l’international indiquent, si besoin était, que Abdoulaye Touré devra, pour être en odeur de sainteté et clean avec sa conscience, être entendu par la justice qui tente de redorer son blason avec l’arrivée de personnes dites intègres dans les différentes juridictions du pays.
Ceci est d’autant regrettable quand on sait que c’est une personne d’une telle moralité qui dirige le bureau panafricain des jeunes.
A Tounyatigui
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