Assemblée générale extraordinaire des frondeurs de la femafoot : Le conseil de la honte de l’Hôtel Mandé
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Siège Femafoot[/caption]
La tenue de cette assemblée générale extraordinaire est une confirmation de l’ambition démesurée de certains responsables sportifs de notre pays. La décision de «suspendre le président Boubacar Baba Diarra, son 1er vice-président, Boukary Sidibé et d’autres membres de la Femafoot », vise à installer le 2e vice-président Salaha Baby comme président de la Fédération. Mais cette décision entérine l’impérativité du mandat de l’équipe de Boubacar baba Diarra. Car Salaha Baby fait partie de son équipe.
Cette maladresse prouve une fois de plus que les frondeurs du football malien méprisent les textes. Par cet acte, ils viennent de se faire ridiculiser, pour le seul but de maintenir la psychose de la crise au sein de la famille du sport roi. En dépit de l’adhésion de l’AS Bakaridjan à leur cause, ils n’atteignent pas le quorum requis. Ils n’ont que 18 voix sur 26 admises. Car sur les 31 voix que réclament les frondeurs, seuls 18 sont éligibles. Pour preuve : la ligue de Kayes s’est désolidarisée de leur mouvement, la Ligue de Bamako est en fin de mandat, les 4 clubs relégués en D2 après trois forfaits en championnat et certains anciens clubs champions de D2 de 2014 (le FC Gaoussou, le Bronconi de Niono, Attar Club) qu’ils comptabilisent ne sont pas reconnus par le Collège électoral.
C’est pour dire qu’ils sont encore loin des 26 voix souhaitées pour convoquer un rassemblement du genre. Pire, ni le Comité olympique, ni le ministère des Sports encore moins le gouvernorat du District n’ont pris part à ladite assemblée.
Quelque part, la tenue de cette assemblée extraordinaire a permis aux frondeurs de connaitre leur poids électoral.
Il convient d’expliquer que la FIFA leur a indiqué d’attendre l’assemblée générale ordinaire, prévue en octobre 2015, dans une correspondance envoyée, le vendredi 28 août 2015.
Au regard de ces actes d’indisciplines, il est temps que le comité exécutif et les autorités prennent des mesures pour suspendre les fauteurs de trouble pour le bonheur de notre football.
Yacouba TANGARA
Siège Femafoot[/caption]
La tenue de cette assemblée générale extraordinaire est une confirmation de l’ambition démesurée de certains responsables sportifs de notre pays. La décision de «suspendre le président Boubacar Baba Diarra, son 1er vice-président, Boukary Sidibé et d’autres membres de la Femafoot », vise à installer le 2e vice-président Salaha Baby comme président de la Fédération. Mais cette décision entérine l’impérativité du mandat de l’équipe de Boubacar baba Diarra. Car Salaha Baby fait partie de son équipe.
Cette maladresse prouve une fois de plus que les frondeurs du football malien méprisent les textes. Par cet acte, ils viennent de se faire ridiculiser, pour le seul but de maintenir la psychose de la crise au sein de la famille du sport roi. En dépit de l’adhésion de l’AS Bakaridjan à leur cause, ils n’atteignent pas le quorum requis. Ils n’ont que 18 voix sur 26 admises. Car sur les 31 voix que réclament les frondeurs, seuls 18 sont éligibles. Pour preuve : la ligue de Kayes s’est désolidarisée de leur mouvement, la Ligue de Bamako est en fin de mandat, les 4 clubs relégués en D2 après trois forfaits en championnat et certains anciens clubs champions de D2 de 2014 (le FC Gaoussou, le Bronconi de Niono, Attar Club) qu’ils comptabilisent ne sont pas reconnus par le Collège électoral.
C’est pour dire qu’ils sont encore loin des 26 voix souhaitées pour convoquer un rassemblement du genre. Pire, ni le Comité olympique, ni le ministère des Sports encore moins le gouvernorat du District n’ont pris part à ladite assemblée.
Quelque part, la tenue de cette assemblée extraordinaire a permis aux frondeurs de connaitre leur poids électoral.
Il convient d’expliquer que la FIFA leur a indiqué d’attendre l’assemblée générale ordinaire, prévue en octobre 2015, dans une correspondance envoyée, le vendredi 28 août 2015.
Au regard de ces actes d’indisciplines, il est temps que le comité exécutif et les autorités prennent des mesures pour suspendre les fauteurs de trouble pour le bonheur de notre football.
Yacouba TANGARA
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