Baccalauréat malien, session de juin 2015 : Plusieurs candidats en possession des sujets à la veille des épreuves
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Kénékouo dit Barthelemy Togo[/caption]
Malgré la nomination d'un nouveau ministre à la tête du département de l'Education, le fléau persiste. Selon des sources concordantes, de nombreuses fuites ont été constatées dans l'organisation du baccalauréat malien de cette année. Ainsi, les candidats de plusieurs Centres de la capitale et ceux des régions avaient les sujets en leur possession avant même le début des épreuves. Certains candidats, toutes filières confondues, estiment s'être procuré des sujets à la veille des épreuves avant de se rendre dans les salles.
A la question de savoir comment le font-ils, la plupart affirme que ce sont des camarades et des parents qui leur ont envoyés par Sms sur leurs téléphones portables.
Nos investigations nous ont permis de savoir que même si le phénomène n'a pas atteint l'ampleur de l'année passée, il a bel et bien existé dans la session de 2015.
Le ministre de l'Education nationale est interpellé afin de diligenter des enquêtes pour traduire les éventuels responsables et leurs complices devant la justice. Comme ce fut le cas l’an dernier.
Siaka Diamouténé
Kénékouo dit Barthelemy Togo[/caption]
Malgré la nomination d'un nouveau ministre à la tête du département de l'Education, le fléau persiste. Selon des sources concordantes, de nombreuses fuites ont été constatées dans l'organisation du baccalauréat malien de cette année. Ainsi, les candidats de plusieurs Centres de la capitale et ceux des régions avaient les sujets en leur possession avant même le début des épreuves. Certains candidats, toutes filières confondues, estiment s'être procuré des sujets à la veille des épreuves avant de se rendre dans les salles.
A la question de savoir comment le font-ils, la plupart affirme que ce sont des camarades et des parents qui leur ont envoyés par Sms sur leurs téléphones portables.
Nos investigations nous ont permis de savoir que même si le phénomène n'a pas atteint l'ampleur de l'année passée, il a bel et bien existé dans la session de 2015.
Le ministre de l'Education nationale est interpellé afin de diligenter des enquêtes pour traduire les éventuels responsables et leurs complices devant la justice. Comme ce fut le cas l’an dernier.
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