Cote d’ivoire du jamais vu ni entendu : La terre tremble sous OUATARA
La localité de Irobo située à 28 km de Grand-Lahou et ses environs ont été secoués par un tremblement de terre, dans la nuit du samedi 11 au dimanche12 août 2012.
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Alassane Ouattara[/caption]
Selon des informations recueillies auprès d’un conducteur de taxi brousse qui habite ce village, les faits se sont produits, deux fois, soit à 22 h 30 et à 23 h 10. « Je dormais profondément quand des secousses, qui ont duré quelques secondes, m’ont projeté du lit. Pris de panique, je suis sorti précipitamment. J’ai vu des habitants courir dans tous les sens.
Quarante minutes plus tard, le même phénomène reprend avec une forte intensité.C’est la panique générale dans le village », nous explique K. Adama que nous avons rencontré à la gare routière de Grand-Lahou. Toujours selon des sources, les villages de Tamabo et Ahouanou ont vécu le même phénomène. Si ce tremblement de terre n’a causé aucun dégât matériel ni de perte en vie humaine, il n’en demeure pas moins que les populations restent traumatisées par ce phénomène inhabituel.
Il est à noter que cette région, située sur les côtes méditerranéennes, a été le théâtre d’exécutions sommaires par les éléments FRCI pendant la crise postélectorale.
DE DJOM
Source Prestige New
Alassane Ouattara[/caption]
Selon des informations recueillies auprès d’un conducteur de taxi brousse qui habite ce village, les faits se sont produits, deux fois, soit à 22 h 30 et à 23 h 10. « Je dormais profondément quand des secousses, qui ont duré quelques secondes, m’ont projeté du lit. Pris de panique, je suis sorti précipitamment. J’ai vu des habitants courir dans tous les sens.
Quarante minutes plus tard, le même phénomène reprend avec une forte intensité.C’est la panique générale dans le village », nous explique K. Adama que nous avons rencontré à la gare routière de Grand-Lahou. Toujours selon des sources, les villages de Tamabo et Ahouanou ont vécu le même phénomène. Si ce tremblement de terre n’a causé aucun dégât matériel ni de perte en vie humaine, il n’en demeure pas moins que les populations restent traumatisées par ce phénomène inhabituel.
Il est à noter que cette région, située sur les côtes méditerranéennes, a été le théâtre d’exécutions sommaires par les éléments FRCI pendant la crise postélectorale.
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