Déroute de la junte malienne : Le FDR met en garde CNRDRE
Le coup d’Etat contesté par la classe politique a tendu la tension entre les auteurs du coup de force, le CNRDRE, et le Front uni pour la sauvegarde de la démocratie et de la République (FDR). Après les séquences d’arrestations enregistrées au sein de cette force politique, les leaders du FDR prône désormais la "tolérance zéro" contre toute arrestation arbitraire.
La junte de plus en plus désavouée par la classe politique, en première ligne le FDR, pour avoir perpétré un certain nombre d’exactions ou d’abus de pouvoir. Il continue à dénoncer les arrestations arbitraires procédées la semaine dernière par la junte de plusieurs leaders politiques, militaires et civils sans l’avis du président par intérim, Pr. Dioncounda Traoré.
Au nez et à la barbe duquel certains ont été arrêtés. Il s’agit de Me Kassoum Tapo du parti de l’Adéma/PASJ et Tiéman Coulibaly de l’UDD. Une situation qui a provoqué la montée de la tension au FDR et chez plusieurs acteurs de la société civile. Ces derniers ne mâchent plus leur mot en l’encontre de la junte dirigée par le capitaine Amadou Haya Sanogo.
Lors du meeting de samedi après-midi plusieurs militants des partis et de la société civile au sein du FDR sont montés au créneau pour dénoncer les mauvaises pratiques de la junte. Il s’agit entres autres de Siaka Diakité (UNTM), Iba Ndiaye et Me Kassoum Tapo (Adéma), Tiéman Coulibaly (UDD), Fatoumata Siré Diakité (APDF), etc.
Le capitaine Sanogo et sa compagnie doivent faire preuve de sagesse pour ne pas gâcher un boulot qui a été applaudie par la plupart des Maliens. Et de ne pas tomber dans le jeu de certains politiciens et acteurs de la société civile, égarés, qui ne privilégient que leur seul intérêt au détriment de celui de l’ensemble des Maliens.
Oumar Mariko, qualifié "d’étudiant félon" par Me Tapo, "a combattu ici le régime militaire en 1991, qui se retrouve dans vos rangs, cache seulement sa carence politicienne. Et Hammadoun Amion Guindo de son opposition à Siaka Diakité, cherche à se venger toujours après avoir fait échouer l’application de l’Assurance maladie obligatoire".
D’autres parlent de "tournant générationnel" qui n’entraine que la rupture du dialogue socio-politique. La priorité à laquelle nous devons tous nous atteler est celui de la libération du Nord et non à des luttes partisanes.
Ousmane Daou
La junte de plus en plus désavouée par la classe politique, en première ligne le FDR, pour avoir perpétré un certain nombre d’exactions ou d’abus de pouvoir. Il continue à dénoncer les arrestations arbitraires procédées la semaine dernière par la junte de plusieurs leaders politiques, militaires et civils sans l’avis du président par intérim, Pr. Dioncounda Traoré.
Au nez et à la barbe duquel certains ont été arrêtés. Il s’agit de Me Kassoum Tapo du parti de l’Adéma/PASJ et Tiéman Coulibaly de l’UDD. Une situation qui a provoqué la montée de la tension au FDR et chez plusieurs acteurs de la société civile. Ces derniers ne mâchent plus leur mot en l’encontre de la junte dirigée par le capitaine Amadou Haya Sanogo.
Lors du meeting de samedi après-midi plusieurs militants des partis et de la société civile au sein du FDR sont montés au créneau pour dénoncer les mauvaises pratiques de la junte. Il s’agit entres autres de Siaka Diakité (UNTM), Iba Ndiaye et Me Kassoum Tapo (Adéma), Tiéman Coulibaly (UDD), Fatoumata Siré Diakité (APDF), etc.
Le capitaine Sanogo et sa compagnie doivent faire preuve de sagesse pour ne pas gâcher un boulot qui a été applaudie par la plupart des Maliens. Et de ne pas tomber dans le jeu de certains politiciens et acteurs de la société civile, égarés, qui ne privilégient que leur seul intérêt au détriment de celui de l’ensemble des Maliens.
Oumar Mariko, qualifié "d’étudiant félon" par Me Tapo, "a combattu ici le régime militaire en 1991, qui se retrouve dans vos rangs, cache seulement sa carence politicienne. Et Hammadoun Amion Guindo de son opposition à Siaka Diakité, cherche à se venger toujours après avoir fait échouer l’application de l’Assurance maladie obligatoire".
D’autres parlent de "tournant générationnel" qui n’entraine que la rupture du dialogue socio-politique. La priorité à laquelle nous devons tous nous atteler est celui de la libération du Nord et non à des luttes partisanes.
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