Il nous revient, de source bien introduite, que l’avion d’ATT est définitivement destiné à devenir une épave, après que ce sort lui ait été jeté par le chef du gouvernement devant les députés.
A Sénou où il est immobilisé depuis longtemps, il sera bientôt rongé par les herbes sauvages. Tel en a décidé les autorités qui se sont contentées de construire, par les soins de la Cetru, une plateforme assez fragiles pour ne pas supporter le poids de la Boeing maudite. Un expert européen en charge des appareils l’aurait pourtant signifié à qui de droit mais en vain.
En attendant, il se chuchote que la Boeing achetée à prix d’or et choyée par le président en exercice semble déjà hors service. De nombreux témoins affirment qu’elle n’a pas été sollicitée pour son récent déplacement du Ghana comme si elle était en panne ou avait besoin de révision quelques mois seulement après son acquisition. Comment l’expliquer au peuple malien ?
La Rédaction