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![ito : Signons l’Accord et passons à autre chose](http://www.maliweb.net/wp-content/news/images/2015/05/Tiemoko-Pouce.jpg)
Tiemoko Traoré, Dirpub "Le Pouce"[/caption]
Le chef de l’Etat a promis 50 000 logements sociaux d’ici à l’horizon 2018. La concrétisation de cette promesse, est en marche. La volonté précédentes et des nouvelles autorités du pays, d’offrir un toit à chaque citoyen, est réelle. Le contexte est, certes, difficile, mais il faut y croire. 1552 foyers viennent de bénéficier, hier jeudi 30 juillet 2015 de logements à N’Tabacoro. Un premier lot de la série de 50 000 logements sociaux à construire, d’ici 2018.
Le droit au logement est garanti par la Constitution, notamment en son article 17. Pour favoriser l’accès de tous au logement, les autorités ont institué les logements sociaux, permettant à une certaine catégorie sociale de bénéficier de toit. Le président IBK, élu par ses compatriotes avec un suffrage de plus de 77% entend perpétuer cette tradition. L’Etat s’y engage. Les bénéficiaires doivent également honorer leurs engagements. Ce qui permettra à d’autres personnes d’être, elles aussi, de heureux bénéficiaires.
Réputé être quelqu’un qui tient ses engagements, IBK veut que les Maliens le croient sur parole. Le Mali traverse une crise sans précédent. Les défis sont énormes. Les attentes, sont multiples et pressantes. Dans ce contexte, la concrétisation des promesses, peut s’avérer difficile mais pas impossible si on s’arme de patience. Nous devons nous montrer patients et compréhensibles ; solidaires et entreprenants dans l’intérêt de la nation. Nous devons également bannir nos mauvaises habitudes qui détruisent les acquis et empêchent le développement communautaire. Nous voulons le changement (positif) ; alors, acceptons le changement en nous, d’abord. C’est à partir de là que le changement va se propager et gagner tout le pays. Le Mali serait, en ce moment, un pays rayonnant où les populations pourraient vivre heureuses, épanouies. Acquittons-nous de nos devoirs et l’Etat pourrait nous garantir nos droits.
Tiémoko Traoré