En un mot : La fin des haricots
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Dramane Aliou Kone[/caption]
La débâcle de l’armée à Kidal a fini par enterrer nos dernières illusions tant chez les populations que chez les dirigeants. A commencer par le premier de nous tous, IBK qui a compris que nous n’avons pas les hommes pour défendre notre territoire, notre souveraineté pour ne pas dire notre honneur. C’est pourquoi, il s’est empressé d’appeler au dialogue et va certainement céder aux conditions posées par les rebelles pour la reprise du dialogue.
Et même son Premier ministre qui, pendant deux petits jours, s’était vu pousser des ailles, est rentré dans le rang pour jouer à l’apaisement. Que dire des populations dont une large majorité n’est plus hostile à la signature d’un accord de défense avec la France et comprennent, comme l’a dit notre confrère Jean-Baptiste Placca, nous n’avons pas les moyens de notre fierté ? C’est difficile à entendre, mais important de le retenir pour repartir de bons pieds.
DAK
Dramane Aliou Kone[/caption]
La débâcle de l’armée à Kidal a fini par enterrer nos dernières illusions tant chez les populations que chez les dirigeants. A commencer par le premier de nous tous, IBK qui a compris que nous n’avons pas les hommes pour défendre notre territoire, notre souveraineté pour ne pas dire notre honneur. C’est pourquoi, il s’est empressé d’appeler au dialogue et va certainement céder aux conditions posées par les rebelles pour la reprise du dialogue.
Et même son Premier ministre qui, pendant deux petits jours, s’était vu pousser des ailles, est rentré dans le rang pour jouer à l’apaisement. Que dire des populations dont une large majorité n’est plus hostile à la signature d’un accord de défense avec la France et comprennent, comme l’a dit notre confrère Jean-Baptiste Placca, nous n’avons pas les moyens de notre fierté ? C’est difficile à entendre, mais important de le retenir pour repartir de bons pieds.
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