En un mot : L’union sacrée piétinée
[caption id="attachment_117655" align="alignleft" width="200"]
Dramane Aliou Kone[/caption]
On ne peut point maudire ceux qui dénoncent un complot international contre le Mali. On ne peut non plus ne pas revenir sur les coups totalement inutiles portés contre l’unité nationale aujourd’hui clamée et réclamée par le régime.
Au-delà de la familiarisation de la gestion publique, on leur rappelle la chasse à l’homme lancée contre l’ancien président et ses fidèles et surtout la campagne lancée sous le prétexte d’appel à candidatures contre tous les cadres qui ne versent pas dans les cagnottes du parti présidentiel tenues par le très remonté Bocari Tréta. Enfin, on rappelle à ces individus la stigmatisation de journaux étiquetés de l’opposition et contre lesquels on a tenté un moment la stratégie de l’étouffement économique.
Mais pour certains tenants du pouvoir, les événements, précisément nos déboires du 21 mai à Kidal, viennent rappeler à nous tous que le Mali a seulement besoin de tous ses enfants qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, Noirs ou Blancs, au sud comme au nord et à l’extérieur comme à l’intérieur.
En ces moments difficiles, l’union sacrée est le seul rempart. Il revient à IBK, en tout premier lieu, de le dresser.
DAK
Dramane Aliou Kone[/caption]
On ne peut point maudire ceux qui dénoncent un complot international contre le Mali. On ne peut non plus ne pas revenir sur les coups totalement inutiles portés contre l’unité nationale aujourd’hui clamée et réclamée par le régime.
Au-delà de la familiarisation de la gestion publique, on leur rappelle la chasse à l’homme lancée contre l’ancien président et ses fidèles et surtout la campagne lancée sous le prétexte d’appel à candidatures contre tous les cadres qui ne versent pas dans les cagnottes du parti présidentiel tenues par le très remonté Bocari Tréta. Enfin, on rappelle à ces individus la stigmatisation de journaux étiquetés de l’opposition et contre lesquels on a tenté un moment la stratégie de l’étouffement économique.
Mais pour certains tenants du pouvoir, les événements, précisément nos déboires du 21 mai à Kidal, viennent rappeler à nous tous que le Mali a seulement besoin de tous ses enfants qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, Noirs ou Blancs, au sud comme au nord et à l’extérieur comme à l’intérieur.
En ces moments difficiles, l’union sacrée est le seul rempart. Il revient à IBK, en tout premier lieu, de le dresser.
DAK
Quelle est votre réaction ?
