En un mot : Mara ne fera pas de cadeau
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Dramane Aliou Koné[/caption]
A l’initiative du président IBK, le Premier ministre Oumar Tatam Ly avait été choisi pour diriger la majorité présidentielle. A son départ, son successeur, Moussa Mara, pensait logiquement hériter du poste. C’était sans compter avec l’hostilité du RPM dont certains leaders lors d’une audience à Koulouba mirent la pression sur IBK qui fit marche arrière et acceptera le principe de confier la direction de la majorité à son parti.
Cette première victoire ne semble pas calmer les ardeurs du ministre Bocari Tréta et ses ouailles qui veulent absolument avoir la tête du PM d’ici la fin de l’année même si sur la stratégie ils sont divisés entre ceux qui veulent utiliser la méthode forte et ceux qui veulent plus de diplomatie.
En tout cas, du côté des partisans de Moussa Mara, certes on évite un affrontement, pour autant on ne veut pas faire de cadeau : en démissionnant du poste. Pour eux, c’est à IBK de prendre ses responsabilités, en mettant rapidement fin à cette guéguerre qui entrave le fonctionnement du pays déjà très meurtri par la crise sécuritaire politique et maintenant économique.
DAK
Dramane Aliou Koné[/caption]
A l’initiative du président IBK, le Premier ministre Oumar Tatam Ly avait été choisi pour diriger la majorité présidentielle. A son départ, son successeur, Moussa Mara, pensait logiquement hériter du poste. C’était sans compter avec l’hostilité du RPM dont certains leaders lors d’une audience à Koulouba mirent la pression sur IBK qui fit marche arrière et acceptera le principe de confier la direction de la majorité à son parti.
Cette première victoire ne semble pas calmer les ardeurs du ministre Bocari Tréta et ses ouailles qui veulent absolument avoir la tête du PM d’ici la fin de l’année même si sur la stratégie ils sont divisés entre ceux qui veulent utiliser la méthode forte et ceux qui veulent plus de diplomatie.
En tout cas, du côté des partisans de Moussa Mara, certes on évite un affrontement, pour autant on ne veut pas faire de cadeau : en démissionnant du poste. Pour eux, c’est à IBK de prendre ses responsabilités, en mettant rapidement fin à cette guéguerre qui entrave le fonctionnement du pays déjà très meurtri par la crise sécuritaire politique et maintenant économique.
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