Fin de cavale pour le Chef de corps des bérets rouges
[caption id="attachment_79571" align="alignleft" width="201" caption="Abidine guindo"]
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Une fois de plus, nos forces de sécurité et de défense viennent de prouver que nous pouvons compter sur elles. En fait, depuis le 30 avril dernier qui a vu le Lt-Colonel Abidine Guindo et ses hommes eux qui avaient décidé de défier l’Armée en voulant renverser le CNRDRE et s’est soldé par leur déculottée, la traque contre l’homme était déclenchée. Et pour cause, tous les services de sécurité de l’état étaient mis en branle car, la prise du Chef de corps Abidine Guindo, était capitale pour permettre aux limiers de l’Armée de comprendre ses complices dans l’attaque du 30 avril dernier qui n’était autre qu’un contre coup d’état.
Ainsi, donc après plusieurs semaines de traque, le Lt-Colonel Abidine, a été cueilli avec dix autres éléments paras, qu’importe le lieu (tantôt Baguinéda, voire Torokorobougou au bord du fleuve dans une maison) ou dans son village). Sa capture a surpris plus d’un au moment où le pays tout entier se prépare à barrer l’arrivée de toute force non autorisée sur notre sol même s’il y a des sirènes de mauvaises augures qui clament le contraire.
Selon certaines sources, le Lt-Colonel s’apprêterait avec ses hommes et avec l’appui d’autres personnes, perpétrer des actions comme celles du 30 avril dernier.
Selon nos informations, la traque contre cet Officier qui n’est pas n’importe qui, était permanente. Ainsi, le mercredi dernier, il sera alpagué dans la capitale, par des forces spéciales de l’armée (réparties en trois groupes) puis conduit dans un lieu sûr. Selon un communiqué du porte-parole du gouvernement : « Le Lt-Colonel Abidine Guindo est bien portant ».
En fait, l’arrestation d’Abidine Guindo permettra de comprendre les tenants et aboutissants du contrecoup du 30 avril dernier qui s‘est soldé par une véritable déroute de ses hommes dont certains n’étaient pas du tout d’accords avec la manière. De nos jours, sa mise en lieu sûr vise deux objectifs majeurs nous dit-on : - éviter qu’il soit tué par certains de ses hommes qui se sentent sacrifiés pour une cause anormale, voir leur carrière arrêtée puisque la plupart veulent être réintégré dans le RCP dont les militaires dans leur majorité, ne veulent plus entendre parler; secundo, le juger afin de faire toute la lumière sur sa mésaventure du 30 avril 2012 afin de démasquer ses complices éventuels et très probables tant de l’intérieur que ceux qui ont pris la poudre d’escampette.
Selon un Officier qui a requit l’anonymat : « Tuer Abidine, ne saurait résoudre aucun problème. Surtout l’affaire dite des bérets rouges qui est militaire et doit traiter comme telle. Il sera jugé pour son forfait. Toutes les dispositions sont prises que cela soit ».
En tout cas, l’arrestation du Lt-Colonel Abidine Guindo (qui fait couler beaucoup de salive et d’encre), permettra d’élucider une affaire qui a retenu le souffle de concitoyens et pour la quelle certains médias en ont fait leur affaire personnelle, alors qu’elle est militaire.
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Une fois de plus, nos forces de sécurité et de défense viennent de prouver que nous pouvons compter sur elles. En fait, depuis le 30 avril dernier qui a vu le Lt-Colonel Abidine Guindo et ses hommes eux qui avaient décidé de défier l’Armée en voulant renverser le CNRDRE et s’est soldé par leur déculottée, la traque contre l’homme était déclenchée. Et pour cause, tous les services de sécurité de l’état étaient mis en branle car, la prise du Chef de corps Abidine Guindo, était capitale pour permettre aux limiers de l’Armée de comprendre ses complices dans l’attaque du 30 avril dernier qui n’était autre qu’un contre coup d’état.
Ainsi, donc après plusieurs semaines de traque, le Lt-Colonel Abidine, a été cueilli avec dix autres éléments paras, qu’importe le lieu (tantôt Baguinéda, voire Torokorobougou au bord du fleuve dans une maison) ou dans son village). Sa capture a surpris plus d’un au moment où le pays tout entier se prépare à barrer l’arrivée de toute force non autorisée sur notre sol même s’il y a des sirènes de mauvaises augures qui clament le contraire.
Selon certaines sources, le Lt-Colonel s’apprêterait avec ses hommes et avec l’appui d’autres personnes, perpétrer des actions comme celles du 30 avril dernier.
Selon nos informations, la traque contre cet Officier qui n’est pas n’importe qui, était permanente. Ainsi, le mercredi dernier, il sera alpagué dans la capitale, par des forces spéciales de l’armée (réparties en trois groupes) puis conduit dans un lieu sûr. Selon un communiqué du porte-parole du gouvernement : « Le Lt-Colonel Abidine Guindo est bien portant ».
En fait, l’arrestation d’Abidine Guindo permettra de comprendre les tenants et aboutissants du contrecoup du 30 avril dernier qui s‘est soldé par une véritable déroute de ses hommes dont certains n’étaient pas du tout d’accords avec la manière. De nos jours, sa mise en lieu sûr vise deux objectifs majeurs nous dit-on : - éviter qu’il soit tué par certains de ses hommes qui se sentent sacrifiés pour une cause anormale, voir leur carrière arrêtée puisque la plupart veulent être réintégré dans le RCP dont les militaires dans leur majorité, ne veulent plus entendre parler; secundo, le juger afin de faire toute la lumière sur sa mésaventure du 30 avril 2012 afin de démasquer ses complices éventuels et très probables tant de l’intérieur que ceux qui ont pris la poudre d’escampette.
Selon un Officier qui a requit l’anonymat : « Tuer Abidine, ne saurait résoudre aucun problème. Surtout l’affaire dite des bérets rouges qui est militaire et doit traiter comme telle. Il sera jugé pour son forfait. Toutes les dispositions sont prises que cela soit ».
En tout cas, l’arrestation du Lt-Colonel Abidine Guindo (qui fait couler beaucoup de salive et d’encre), permettra d’élucider une affaire qui a retenu le souffle de concitoyens et pour la quelle certains médias en ont fait leur affaire personnelle, alors qu’elle est militaire.
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