Les infos du matin: Hollande dit «non», les buzz de Londres 2012 et Trump étrillé

Août 3, 2016 - 01:38
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Les infos du matin: Hollande dit «non», les buzz de Londres 2012 et Trump étrillé
Vous avez manquéles infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap' pour vous aider à y voir plus clair.

Hollande dit « non » au financement public du culte musulman

Le chef de l’Etat a mis fin au débat qui agitait la classe politique ces derniers jours. François Hollande a dit « non » au financement public du culte musulman, s’opposant ainsi fermement à son Premier ministre. Manuel Valls avait en effet évoqué cette piste lundi dans les colonnes du journal Libération. Cette idée avait provoqué des réactions de toutes parts, à droite comme à gauche. François Hollande a également évoqué mardi soir de façon informelle le nom de l’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement pour prendre la tête de la Fondation pour l’islam de France, que l’exécutif veut remettre sur les rails.

JO 2016 : Que sont devenus les buzz de Londres 2012 ?

Le Comité International de la Hype sur les Réseaux Sociaux est formel, l’utilisation du terme buzz est strictement prohibée depuis le 1er janvier 2014. Il n’empêche que le terme était à l’époque des derniers Jeux olympiques d’été celui qu’on utilisait systématiquement pour désigner un épiphénomène viral qui fait causer/rigoler/rager le monde entier de l’Internet. De la nageuse chinoise suspectée de dopage à l’énorme chibre d’un rameur américain, ils ont été la sève de Londres 2012. Alors que nos deux envoyés spéciaux viennent d’arriver à Rio, 20 Minutes revient sur les sportifs qui ont marqué malgré eux les derniers Jeux. Et se demande ce qu’ils sont devenus.

Donald Trump étrillé des deux côtés de l’Atlantique

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Donald Trump a le don de s’attirer les critiques. Pour François Hollande, qui s’exprimait lors d’une rencontre avec les journalistes de l’Association de la presse présidentielle mardi à Paris, « les excès finissent par créer un sentiment de haut-le-cœur, aux Etats-Unis mêmes, surtout quand on s’en prend, en l’occurrence Donald Trump, à un soldat, à la mémoire d’un soldat. » Un peu plus tôt, c’est Barack Obama qui avait étrillé le candidat républicain à la Maison Blanche en déclarant qu’il n’était « pas qualifié pour être président. »« Je l’ai dit la semaine dernière, a martelé le président américain. Il n’arrête pas de le démontrer. »

T.D. Publié le 03.08.2016 à 08:54 Par 20minutes.fr

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