Ces missiles d’une portée de 250 à 550 km pourraient servir à cibler le territoire russe, en particulier la Crimée, selon les données de la Défense russe. Une telle utilisation pourrait d’ailleurs être assimilée à une participation directe du Royaume-Uni dans le conflit, mettant Londres en très mauvaise posture,
expliquait récemment à Sputnik Sergueï Tsékov, sénateur de Crimée.