"Dans un exercice d’équilibrisme intellectuel, le journal tente de renvoyer dos à dos l’Etat burkinabè et les hordes de terroristes qui ont attaqué Djibo le 26 novembre dernier, mais cache mal son penchant pour ces Hommes sans foi ni loi qui violent, pillent et tuent d’innocentes populations en légitimant le discours et la propagande terroristes", relève le communiqué.