Le capitaine Sanogo fait le point sur les troupes à Modibo Diarra
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Le capitaine Amadou Aya Sanogo[/caption]
KOACI.COM apprend de sources militaires malienne proches du CNRDRE que le capitaine Amadou Aya Sanogo et le premier ministre de la transition Cheick Modibo Diarra ont échangé ces derniers jours sur l'état de l'armée malienne en vue d'une participation à une offensive internationale sur les positions des islamistes au nord du Mali.
Selon nos informations, alors que Bamako attend toujours que les armes bloquées notamment à Conakry par la Cedeao soient livrées à l'armée, tout indique que cette initiative d'"état des lieux", de point, va dans le sens d'un retour à la normale au niveau de la relation entre l'armée malienne et la Cedeao.
Du peu d'information reçus de cet échange, nous apprenons qu'un "audit" interne de l'armée serait en cours sur ordre du capitaine Sanogo, véritable homme fort de Bamako depuis plusieurs mois en retrait de toute dynamique médiatique.
Rappelons que l'institution sous régionale africaine a embrayé le pas de la position française d'intervention dans les plus brefs délais, sous couvert d'une validation de l'Onu, affirmée par François Hollande à la tribune de l'Onu à New York et pour laquelle l'armée française se prépare en comptant sur l'appui essentiel de l'armée malienne et d'un encadrement, dans une dynamique de "collaboration et d'appui" sous couvert de contrôle, de cadres militaires de la Cedeao. Cette dernière serait une des principales exigences de la Cedeao pour libérer les armes.
L'objectif principal est le retour "au plus vite" de l'intégrité territoriale du Mali dont le nord est colonisé par des islamistes qui tentent de s'enraciner en appliquant des règles féodales sous couvert d'islam, pour s'étendre par la suite.
Cheick Modibo Diarra, hier partisan de la négociation et du dialogue, s'était à son tour introduit depuis New York, dans la dynamique d'intervention militaire pour chasser les islamistes.
Par ailleurs nous apprenons que près de deux mille soldats maliens seraient déjà déployés non loin de Mopti dans le nord du pays.
Tout indique à cette heure que l'armée malienne se prépare à intervenir au Nord du Mali. Cette dernière pourrait intervenir au sol après des frappes aériennes de l'armée française.
IB / BAMAKO LE 2 OCTOBRE 2012
Le capitaine Amadou Aya Sanogo[/caption]
KOACI.COM apprend de sources militaires malienne proches du CNRDRE que le capitaine Amadou Aya Sanogo et le premier ministre de la transition Cheick Modibo Diarra ont échangé ces derniers jours sur l'état de l'armée malienne en vue d'une participation à une offensive internationale sur les positions des islamistes au nord du Mali.
Selon nos informations, alors que Bamako attend toujours que les armes bloquées notamment à Conakry par la Cedeao soient livrées à l'armée, tout indique que cette initiative d'"état des lieux", de point, va dans le sens d'un retour à la normale au niveau de la relation entre l'armée malienne et la Cedeao.
Du peu d'information reçus de cet échange, nous apprenons qu'un "audit" interne de l'armée serait en cours sur ordre du capitaine Sanogo, véritable homme fort de Bamako depuis plusieurs mois en retrait de toute dynamique médiatique.
Rappelons que l'institution sous régionale africaine a embrayé le pas de la position française d'intervention dans les plus brefs délais, sous couvert d'une validation de l'Onu, affirmée par François Hollande à la tribune de l'Onu à New York et pour laquelle l'armée française se prépare en comptant sur l'appui essentiel de l'armée malienne et d'un encadrement, dans une dynamique de "collaboration et d'appui" sous couvert de contrôle, de cadres militaires de la Cedeao. Cette dernière serait une des principales exigences de la Cedeao pour libérer les armes.
L'objectif principal est le retour "au plus vite" de l'intégrité territoriale du Mali dont le nord est colonisé par des islamistes qui tentent de s'enraciner en appliquant des règles féodales sous couvert d'islam, pour s'étendre par la suite.
Cheick Modibo Diarra, hier partisan de la négociation et du dialogue, s'était à son tour introduit depuis New York, dans la dynamique d'intervention militaire pour chasser les islamistes.
Par ailleurs nous apprenons que près de deux mille soldats maliens seraient déjà déployés non loin de Mopti dans le nord du pays.
Tout indique à cette heure que l'armée malienne se prépare à intervenir au Nord du Mali. Cette dernière pourrait intervenir au sol après des frappes aériennes de l'armée française.
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