Le Général Moussa Traoré lors des journées du Synankuya : «Le synankuya a une place importante dans la résolution de notre crise»
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Moussa Traoré[/caption]
Pour lui le sinankuya exige la paix, la paix accepte l’exigence du Sinankuya. Il a une place importante dans notre société d’aujourd’hui et singulièrement dans cette crise.
Sinankuya et paix quel rapport ?
Aux dires du Général Moussa Traoré, il faudra remonter le temps afin de comprendre ce que c’est que le sinankuya avant de faire sa relation avec la paix. Selon lui , c’est à Kurukan fuga, lorsque Naré MaKan Konaté fut érigé en Soundiata Keita qui a institué le sinankuya. Le roi a précisé dans le sinankuya le rôle de chacun des sinankuns, des niamakalas et des esclaves. Et aussi d’indiquer que dans le sinankuya, il y a l’exigence morale, humaine et sociale. Comme on le dit dans notre terroir « lorsqu’on a le fer entre les dents et que le sinankun dit de lâcher, vous êtes obligé de lâcher pour revenir à la paix » a ajouté le général Moussa Traoré. La rencontre entre « sinankuns » se manifeste par l’harmonie, la paix et la concorde.
L’histoire retient qu’un « touareg ne peut pas tuer un dogon et vice-versa ; idem pour le bozo et aussi les arabes et les Coulibaly. C’est une nécessité du sinankuya. Ceux qui ont pris les armes ont leurs sinankuns dans le sud. Le sinankuya a un rôle qui lui revient pour que la paix revienne au Mali.
Tom
Moussa Traoré[/caption]
Pour lui le sinankuya exige la paix, la paix accepte l’exigence du Sinankuya. Il a une place importante dans notre société d’aujourd’hui et singulièrement dans cette crise.
Sinankuya et paix quel rapport ?
Aux dires du Général Moussa Traoré, il faudra remonter le temps afin de comprendre ce que c’est que le sinankuya avant de faire sa relation avec la paix. Selon lui , c’est à Kurukan fuga, lorsque Naré MaKan Konaté fut érigé en Soundiata Keita qui a institué le sinankuya. Le roi a précisé dans le sinankuya le rôle de chacun des sinankuns, des niamakalas et des esclaves. Et aussi d’indiquer que dans le sinankuya, il y a l’exigence morale, humaine et sociale. Comme on le dit dans notre terroir « lorsqu’on a le fer entre les dents et que le sinankun dit de lâcher, vous êtes obligé de lâcher pour revenir à la paix » a ajouté le général Moussa Traoré. La rencontre entre « sinankuns » se manifeste par l’harmonie, la paix et la concorde.
L’histoire retient qu’un « touareg ne peut pas tuer un dogon et vice-versa ; idem pour le bozo et aussi les arabes et les Coulibaly. C’est une nécessité du sinankuya. Ceux qui ont pris les armes ont leurs sinankuns dans le sud. Le sinankuya a un rôle qui lui revient pour que la paix revienne au Mali.
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