Le RDS, le 08 juin 2012 et ceux qui ont désagrégé la Nation malienne
Dans une déclaration envoyée à notre rédaction, ce parti rappelle le bien fondé du 08, date anniversaire de prise de fonction de chacun des Présidents élu « démocratiquement : Alpha Oumar Konaré et Amadou Toumani Touré.
[caption id="attachment_63435" align="alignleft" width="300" caption="Younouss Hamèye Dicko, président du RDS"]
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« Les évènements du 22 mars constituent un espoir de changement »
Pour ce parti, cette date est un symbole car elle incarne « la fête de la démocratie malienne ». Malheureusement, précise-t-on du côté du RDS que : « le 8 Juin 2012, la nation pleure son honneur, sa dignité, son intégrité territoriale et son existence même. Le Mali est en deuil ! ». Tout en poursuivant : « Si l’Assemblée Nationale de 1992 a été qualifiée « d’Appareil Voteur », elle avait au moins l’excuse que son régime jouait sa survie, voire la survie du processus démocratique. Celle de 2007 a servi aveuglement et servilement un régime autocrate au détriment de son peuple. Un régime autocrate auquel elle a offert sans la moindre circonspection, sur un plateau d’argent, la loi inique (1ère version) du Code de la famille, l’AMO décrié encore par les travailleurs, le projet de Constitution antinational, aux relents ethniques, renforçant le pouvoir personnel, une loi de découpage administratif consacrant de fait la partition du pays et livrant les populations de Gao, Kidal et Tombouctou, pieds et mains liés, à leurs maîtres conquérants ».
Permettre tous la renaissance de notre patrie
Les Accords d’Alger, en 2006 dit-on, « ont consacré l’abandon par l’Etat des territoires du Nord au MNLA, à AQMI, aux narcotrafiquants, au trafic d’Otages et autres. L’Armée a été détruite et mise à la merci de nos ennemis !
De nos jours, poursuit la déclaration : « la douleur et le deuil du peuple malien doivent être respectés par tous. C’est pourquoi ces acteurs, auteurs du délitement de toute une nation doivent avoir pitié de leur victime, le peuple malien, et arrêter leur arrogance et leur soif de pouvoir qui sèment le désordre en s’agitant auprès des organisations étrangères pour faire tomber le Gouvernement de Transition afin de revenir encore régner et assurer la transition ! Quel toupet ! ».
Au RDS, on voudrait que : « la pudeur et l’exigence de la patrie voudraient que ceux qui ont désagrégé la nation soient un peu plus discrets, cessent de se mettre en travers de toute solution malienne de sortie de crise et arrêtent de croire naïvement que c’est l’étranger qui va leur redonner le pouvoir qu’ils ont perdu dans le cœur des Maliens !
Nous devons maintenant tous permettre la renaissance de notre patrie. C’est notre devoir de génération, à tous, quelle que soit la formation politique circonstancielle à laquelle nous appartenons en ce 8 Juin 2012 ; tout en gardant à l’esprit que les évènements du 22 Mars 2012 constituent un espoir du changement ».
Ne pas sacrifier la Nation malienne pour les sirènes de ceux qui sont coupables
Aux Présidents Boni YAYI, Alassane Dramane OUATTARA et Blaise COMPAORE, Médiateur de la CEDEAO pour le Mali, attire leur attention du regard de la Nation malienne qui les épie et les supplie de ne pas le sacrifier pour les sirènes de ceux qui se sont rendus coupables de manquement grave à la bonne gouvernance et d’abandon du territoire national au profit d’aventuriers terroristes.
Pour le RDS, ceux-ci doivent être « toujours aux côtés du peuple malien, le RDS prie Allah afin que les acteurs intérieurs et extérieurs soient mieux éclairés pour sauvegarder notre Mali, celui de nos ancêtres et de nos descendants ».
Ardo
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« Les évènements du 22 mars constituent un espoir de changement »
Pour ce parti, cette date est un symbole car elle incarne « la fête de la démocratie malienne ». Malheureusement, précise-t-on du côté du RDS que : « le 8 Juin 2012, la nation pleure son honneur, sa dignité, son intégrité territoriale et son existence même. Le Mali est en deuil ! ». Tout en poursuivant : « Si l’Assemblée Nationale de 1992 a été qualifiée « d’Appareil Voteur », elle avait au moins l’excuse que son régime jouait sa survie, voire la survie du processus démocratique. Celle de 2007 a servi aveuglement et servilement un régime autocrate au détriment de son peuple. Un régime autocrate auquel elle a offert sans la moindre circonspection, sur un plateau d’argent, la loi inique (1ère version) du Code de la famille, l’AMO décrié encore par les travailleurs, le projet de Constitution antinational, aux relents ethniques, renforçant le pouvoir personnel, une loi de découpage administratif consacrant de fait la partition du pays et livrant les populations de Gao, Kidal et Tombouctou, pieds et mains liés, à leurs maîtres conquérants ».
Permettre tous la renaissance de notre patrie
Les Accords d’Alger, en 2006 dit-on, « ont consacré l’abandon par l’Etat des territoires du Nord au MNLA, à AQMI, aux narcotrafiquants, au trafic d’Otages et autres. L’Armée a été détruite et mise à la merci de nos ennemis !
De nos jours, poursuit la déclaration : « la douleur et le deuil du peuple malien doivent être respectés par tous. C’est pourquoi ces acteurs, auteurs du délitement de toute une nation doivent avoir pitié de leur victime, le peuple malien, et arrêter leur arrogance et leur soif de pouvoir qui sèment le désordre en s’agitant auprès des organisations étrangères pour faire tomber le Gouvernement de Transition afin de revenir encore régner et assurer la transition ! Quel toupet ! ».
Au RDS, on voudrait que : « la pudeur et l’exigence de la patrie voudraient que ceux qui ont désagrégé la nation soient un peu plus discrets, cessent de se mettre en travers de toute solution malienne de sortie de crise et arrêtent de croire naïvement que c’est l’étranger qui va leur redonner le pouvoir qu’ils ont perdu dans le cœur des Maliens !
Nous devons maintenant tous permettre la renaissance de notre patrie. C’est notre devoir de génération, à tous, quelle que soit la formation politique circonstancielle à laquelle nous appartenons en ce 8 Juin 2012 ; tout en gardant à l’esprit que les évènements du 22 Mars 2012 constituent un espoir du changement ».
Ne pas sacrifier la Nation malienne pour les sirènes de ceux qui sont coupables
Aux Présidents Boni YAYI, Alassane Dramane OUATTARA et Blaise COMPAORE, Médiateur de la CEDEAO pour le Mali, attire leur attention du regard de la Nation malienne qui les épie et les supplie de ne pas le sacrifier pour les sirènes de ceux qui se sont rendus coupables de manquement grave à la bonne gouvernance et d’abandon du territoire national au profit d’aventuriers terroristes.
Pour le RDS, ceux-ci doivent être « toujours aux côtés du peuple malien, le RDS prie Allah afin que les acteurs intérieurs et extérieurs soient mieux éclairés pour sauvegarder notre Mali, celui de nos ancêtres et de nos descendants ».
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