Ce n’est pas la première fois que William Ruto s’en prend ainsi aux institutions financières mondiales. Fin juin, le chef d’État avait déjà accusé le FMI et la Banque mondiale d’être
les "otages" des pays riches. Il avait lancé l’idée d’une nouvelle banque verte internationale, destinée à financer les initiatives climatiques, mais qui ne soit sous la coupe d’aucun pays. L’organisme pourrait être alimenté par les taxes environnementales perçu dans le monde entier, notamment celles sur les hydrocarbures.