Les islamistes en danger : Les jeunes recrues désertent le mouvement
Visiblement, la libération sans compromission des villes du Nord tombées aux mains des islamistes et autres terroristes commence à se dessiner dans un horizon très certain et cela, au regard du climat délétère qui règne dans les rangs des nouveaux occupants de la zone qui abandonneraient petit à petit leurs fiefs respectifs.
L’étau se resserre encore et encore autour d’Ançardine dont les nouvelles jeunes recrues ont décidé de quitter le mouvement pour ne plus mettre inutilement leur vie en danger. Mais cette information est à prendre avec des pincettes. Le samedi dernier, les responsables du mouvement Ançardine avaient rassemblé tous les jeunes volontaires qui avaient accepté de prendre les armes pour les aider dans leur tâche de déstabilisation du pays. En fait, la plupart de ces jeunes enrôlés de Tombouctou, ne sachant pas à qui se confier, avaient finalement décidé de prendre les armes non seulement pour assurer leur sécurité vis-à-vis des nouveaux occupants, mais aussi pour leur survie. Par ailleurs, le but de la rencontre entre les responsables du mouvement et ces jeunes enrôlés visait à mobiliser ces derniers pour l’option de guerre qui s’impose à eux. Toute chose qui aurait démotivé cette classe juvénile qui ne tient plus à devenir « le mouton de sacrifice » de ce mouvement qui, au nom d’une certaine religion, ne fait que commettre horreurs et cruautés. Au cours de cette encontre du samedi dernier, les responsables d’Ançardine ont fait savoir à ces jeunes que l’option de guerre est maintenant dans leur logique. Pour cela, il ne reste plus qu’à mobiliser ces jeunes pour les mettre en position de force face à une éventuelle intervention militaire dans la zone : autant dire les envoyer à « l’abattoir ». Alors, n’adhérant à cette proposition des éléments du mouvement, les jeunes enrôlés ont purement et simplement décidé de déposer les armes car ils déclarent ne pas être prêts à mourir pour des gens sans foi ni loi. Cette attitude des jeunes « guerriers » de la ville de Tombouctou a semé un vent, voire un ouragan de panique dans les rangs des islamistes qui, du coup, ont imposé un couvre-feu dans la ville pour ne pas être la cible de ces jeunes déserteurs. Ainsi, à partir de 18h, les islamistes sortent de la ville pour le désert et ne reviennent que le lendemain à 6h du matin. Ce qui du coup permet aux habitants de vaguer librement et sans embrouille à leurs propres occupations.
Serge Lath
L’étau se resserre encore et encore autour d’Ançardine dont les nouvelles jeunes recrues ont décidé de quitter le mouvement pour ne plus mettre inutilement leur vie en danger. Mais cette information est à prendre avec des pincettes. Le samedi dernier, les responsables du mouvement Ançardine avaient rassemblé tous les jeunes volontaires qui avaient accepté de prendre les armes pour les aider dans leur tâche de déstabilisation du pays. En fait, la plupart de ces jeunes enrôlés de Tombouctou, ne sachant pas à qui se confier, avaient finalement décidé de prendre les armes non seulement pour assurer leur sécurité vis-à-vis des nouveaux occupants, mais aussi pour leur survie. Par ailleurs, le but de la rencontre entre les responsables du mouvement et ces jeunes enrôlés visait à mobiliser ces derniers pour l’option de guerre qui s’impose à eux. Toute chose qui aurait démotivé cette classe juvénile qui ne tient plus à devenir « le mouton de sacrifice » de ce mouvement qui, au nom d’une certaine religion, ne fait que commettre horreurs et cruautés. Au cours de cette encontre du samedi dernier, les responsables d’Ançardine ont fait savoir à ces jeunes que l’option de guerre est maintenant dans leur logique. Pour cela, il ne reste plus qu’à mobiliser ces jeunes pour les mettre en position de force face à une éventuelle intervention militaire dans la zone : autant dire les envoyer à « l’abattoir ». Alors, n’adhérant à cette proposition des éléments du mouvement, les jeunes enrôlés ont purement et simplement décidé de déposer les armes car ils déclarent ne pas être prêts à mourir pour des gens sans foi ni loi. Cette attitude des jeunes « guerriers » de la ville de Tombouctou a semé un vent, voire un ouragan de panique dans les rangs des islamistes qui, du coup, ont imposé un couvre-feu dans la ville pour ne pas être la cible de ces jeunes déserteurs. Ainsi, à partir de 18h, les islamistes sortent de la ville pour le désert et ne reviennent que le lendemain à 6h du matin. Ce qui du coup permet aux habitants de vaguer librement et sans embrouille à leurs propres occupations.
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