Dans l’un des quatre volets de
son enquête choc, publiée en anglais, en créole et en français, sur les prédations que la France a commises à Haïti tout au long du XIX
e siècle, le
New York Times s’attarde sur le rôle joué par la Société générale de crédit industriel et commercial, entre 1875 et le début de la Première Guerre mondiale.