Ahmad al-Mahdi, dont le procès historique s'est ouvert lundi 22 août devant la Cour pénale internationale, a demandé pardon au peuple malien pour la destruction de mausolées classés au Patrimoine mondial de l'humanité à Tombouctou. Dans ce procès historique, premier du genre mené par cette juridiction, l'ancien responsable de la brigade islamique des mœurs a reconnu les faits qui lui sont reprochés.