Mali: le MNLA accuse l’armée de "provocation" à Kidal, parle de trois blessés
[caption id="attachment_151843" align="aligncenter" width="620"]
Des dirigeants touareg assistent aux négociations sur le Mali menées à Ouagadougou, le 8 juin 2013
© AFP[/caption] DAKAR - La rébellion touareg du MNLA a affirmé que trois de ses hommes ont été blessés dimanche à Kidal, ville du nord-est du Mali partiellement sous son contrôle, lors d'échanges de tirs avec des soldats maliens qu'elle a accusés d'"actes de provocation". "Des soldats maliens ont délibérément ouvert le feu sur une unité mobile du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad) alors que celle-ci circulait dans le centre de Kidal", ils ont "ouvert le feu en tirant des rafales de mitraillettes blessant gravement le chef de l'unité et deux de ses soldats", a affirmé le MNLA dans un communiqué daté de Ouagadougou et signé de son porte-parole, Mossa Ag Attaher. Selon lui, le chef de l'unité était "descendu de son véhicule en levant les mains pour bien montrer que son unité n'était nullement dans une position de belligérance". "Cette flagrante agression (par les soldats maliens) a poussé le reste de l'unité à riposter. Suite à ce grave incident, d'autres échanges de tir ont eu lieu", a-t-il ajouté dans ce texte publié sur le site Internet du mouvement tard dimanche soir. cs/mf
Des dirigeants touareg assistent aux négociations sur le Mali menées à Ouagadougou, le 8 juin 2013© AFP[/caption] DAKAR - La rébellion touareg du MNLA a affirmé que trois de ses hommes ont été blessés dimanche à Kidal, ville du nord-est du Mali partiellement sous son contrôle, lors d'échanges de tirs avec des soldats maliens qu'elle a accusés d'"actes de provocation". "Des soldats maliens ont délibérément ouvert le feu sur une unité mobile du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad) alors que celle-ci circulait dans le centre de Kidal", ils ont "ouvert le feu en tirant des rafales de mitraillettes blessant gravement le chef de l'unité et deux de ses soldats", a affirmé le MNLA dans un communiqué daté de Ouagadougou et signé de son porte-parole, Mossa Ag Attaher. Selon lui, le chef de l'unité était "descendu de son véhicule en levant les mains pour bien montrer que son unité n'était nullement dans une position de belligérance". "Cette flagrante agression (par les soldats maliens) a poussé le reste de l'unité à riposter. Suite à ce grave incident, d'autres échanges de tir ont eu lieu", a-t-il ajouté dans ce texte publié sur le site Internet du mouvement tard dimanche soir. cs/mf
Quelle est votre réaction ?
