Marche pour la paix : Manifestation spontanée devant l’ambassade de France
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Devanture du Consulat de France à Bamako (photo archive)[/caption]
L’itinéraire de la marche passait par la place de l’indépendance et était loin de l’ambassade France à Bamako. Toutefois, quelques centaines de jeunes se sont déplacés jusque devant l’ambassade de France, scandant des slogans hostiles à la diplomatie française.
La France, ancienne puissance coloniale, est accusée de vouloir protéger certains responsables rebelles qui se sont opposés à l’accord de paix signé le 15 mai 2015. Cette vieille rengaine s’ajoute au contexte délétère créé par l’intérêt soudain de certains médiats français à l’amitié entre le président IBK et l’homme d’affaire Corse Tomi Michel.
Tomi est poursuivi en France pour corruption d’argents publics étranger. La semaine dernière IBK et d’autres chefs d’Etat africains ont été cités dans cette affaire. Pourquoi le site Mediapart a publié les conversations téléphoniques entre Tomi et IBK? A priori, c’était inopportun.
Mais beaucoup de Maliens estiment que la publication des conversations téléphoniques entre l’homme d’affaires français et IBK est une cabale contre le Mali. En essayant d’affaiblir IBK, les commanditaires de cette cabale médiatique espèrent affaiblir le Mali et son président. Ce dernier a ouvertement tansé des responsables de la Minusma lors de la cérémonie de signature de l’accord de paix.
IBK a rappelé que la Minusma fasse preuve d’équité en rédigeant ses rapports, notamment en ne présentant pas les militaires maliens comme une bande de soudards. Curieusement, une mission d’enquête vient d’être dépêchée dans une localité du nord alors que les militaires maliens accusés de crimes sont cantonnés.
Visiblement, on assiste à une guéguerre entre IBK et des barbouses qui s’amusent à le faire chanter depuis la France. En 2014, un article de presse mettait en garde le chef d’Etat malien pour qu’il sache qu’il « est en présidence surveillée ».
ST DIARRA/Maliweb.net
Devanture du Consulat de France à Bamako (photo archive)[/caption]
L’itinéraire de la marche passait par la place de l’indépendance et était loin de l’ambassade France à Bamako. Toutefois, quelques centaines de jeunes se sont déplacés jusque devant l’ambassade de France, scandant des slogans hostiles à la diplomatie française.
La France, ancienne puissance coloniale, est accusée de vouloir protéger certains responsables rebelles qui se sont opposés à l’accord de paix signé le 15 mai 2015. Cette vieille rengaine s’ajoute au contexte délétère créé par l’intérêt soudain de certains médiats français à l’amitié entre le président IBK et l’homme d’affaire Corse Tomi Michel.
Tomi est poursuivi en France pour corruption d’argents publics étranger. La semaine dernière IBK et d’autres chefs d’Etat africains ont été cités dans cette affaire. Pourquoi le site Mediapart a publié les conversations téléphoniques entre Tomi et IBK? A priori, c’était inopportun.
Mais beaucoup de Maliens estiment que la publication des conversations téléphoniques entre l’homme d’affaires français et IBK est une cabale contre le Mali. En essayant d’affaiblir IBK, les commanditaires de cette cabale médiatique espèrent affaiblir le Mali et son président. Ce dernier a ouvertement tansé des responsables de la Minusma lors de la cérémonie de signature de l’accord de paix.
IBK a rappelé que la Minusma fasse preuve d’équité en rédigeant ses rapports, notamment en ne présentant pas les militaires maliens comme une bande de soudards. Curieusement, une mission d’enquête vient d’être dépêchée dans une localité du nord alors que les militaires maliens accusés de crimes sont cantonnés.
Visiblement, on assiste à une guéguerre entre IBK et des barbouses qui s’amusent à le faire chanter depuis la France. En 2014, un article de presse mettait en garde le chef d’Etat malien pour qu’il sache qu’il « est en présidence surveillée ».
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