Marginalisation éhontée de l’Office National des Transports : Que font les visites techniques et les plaques entre des mains privées ?
Des autorités assurément mal inspirées ou tirant de gains substantiels inavoués, ont choisi de confier la visite technique de tout le parc automobile malien aussi bien que la confection des plaques d’immatriculation entre des mains de sociétés privées qui, n’en font qu’à leurs têtes.
L’état du Mali, sans qu’on ne sache pourquoi, a choisi voilà une éternité de confier ces services combien précieux de visites techniques du parc Auto malien et de la confection de ses plaques d’immatriculation à deux familles qui, de l’avis d’une grande majorité de maliens, rendent mal ces services.
Trafics d’influence, pour expliquer tout simplement la raison de ces sessions. Or, il n’est un secret pour personne, que notre pays regorge de cadres et de techniciens formés et payés pour ça seulement. Mais, en lieu et place des compétences de ces derniers, on a choisi de faire son business avec des privés qui se fichent de la bonne tenue de ce qui aurait normalement dû être ou rester à l’Etat. Alliant le mépris à l’arrogance sous fond d’incapacité à rendre correctement ces services, Mali- Plaque a osé saisir la Cour Suprême du Mali pour bouter une plainte légitime et légale de l’Etat à travers un de ses démembrements.
Le changement oubliera –t –il ces domaines si précieux ?
Le nouveau pouvoir qui s’installe à partir de demain mercredi, doit se dire, que la gestion du parc auto malien, à travers les visites techniques des véhicules, et les services de confections des plaques numérologiques, sont des domaines importants de notre économie, lesquels ne devraient plus tarder à retourner dans le giron de l’Etat à travers ses services compétents de l’Office National des Transports. Jusqu’ici, et les visites techniques et les plaques échappent à l’autorité nationale en continuant à alimenter des caisses d’une catégorie de personnes qui ne doivent ça qu’à la dime qu’elles paient à leurs mentors tapis à l’ombre des bureaux entretenus par le contribuable malien, suffisamment malmené par les tenants obscurs de ces deux domaines .
Pour dénoncer cet état de fait, nous nous sommes lancés dans un micro – trottoir auprès des usagers des deux secteurs, micro- trottoir qui sera publié très prochainement. A suivre.
Sory de Motti
L’état du Mali, sans qu’on ne sache pourquoi, a choisi voilà une éternité de confier ces services combien précieux de visites techniques du parc Auto malien et de la confection de ses plaques d’immatriculation à deux familles qui, de l’avis d’une grande majorité de maliens, rendent mal ces services.
Trafics d’influence, pour expliquer tout simplement la raison de ces sessions. Or, il n’est un secret pour personne, que notre pays regorge de cadres et de techniciens formés et payés pour ça seulement. Mais, en lieu et place des compétences de ces derniers, on a choisi de faire son business avec des privés qui se fichent de la bonne tenue de ce qui aurait normalement dû être ou rester à l’Etat. Alliant le mépris à l’arrogance sous fond d’incapacité à rendre correctement ces services, Mali- Plaque a osé saisir la Cour Suprême du Mali pour bouter une plainte légitime et légale de l’Etat à travers un de ses démembrements.
Le changement oubliera –t –il ces domaines si précieux ?
Le nouveau pouvoir qui s’installe à partir de demain mercredi, doit se dire, que la gestion du parc auto malien, à travers les visites techniques des véhicules, et les services de confections des plaques numérologiques, sont des domaines importants de notre économie, lesquels ne devraient plus tarder à retourner dans le giron de l’Etat à travers ses services compétents de l’Office National des Transports. Jusqu’ici, et les visites techniques et les plaques échappent à l’autorité nationale en continuant à alimenter des caisses d’une catégorie de personnes qui ne doivent ça qu’à la dime qu’elles paient à leurs mentors tapis à l’ombre des bureaux entretenus par le contribuable malien, suffisamment malmené par les tenants obscurs de ces deux domaines .
Pour dénoncer cet état de fait, nous nous sommes lancés dans un micro – trottoir auprès des usagers des deux secteurs, micro- trottoir qui sera publié très prochainement. A suivre.
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