Mon mot à dire : La psychose des attentats
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Iyad Ag Ghaly, le chef d'Ansar Dine[/caption]
Depuis le jeudi dernier, la ville de Bamako a été mise en alerte en raison des rumeurs d’une menace d’attentats contre les positions des Fama et ceux jugés comme les «ennemis de Dieu». Ainsi, s’en suit le ballet des texto des différentes chancelleries appelant leurs ressortissants à rester vigilants. Bamako sur le qui-vive ?
Sincèrement, personne ne pourra répondre à cette question. À part les milieux sécuritaires et diplomatiques, préoccupés par cette alerte d’attentats, tout allait de bon train jeudi et vendredi derniers pour les populations soucieuses de préparer la fête de Ramadan. En réalité, connaissant la force de frappe de ces jihadistes et principalement d’Ançar Eddine d’Iyad Ag Ghaly, Bamako n’échappe pas à un attentat terroriste et la menace doit être prise au sérieux. Surtout, qu’on note l’arrestation d’un présumé jihadiste à Ouan dans le cercle de San et qui s’affiche comme l’un des émissaires d’Iyad Ag Ghaly et des menaces d’attentats proférées sur le site mauritanien contre les Fama et les «ennemis de Dieu».
Les forces de défense et sécurité maliennes doivent être sur le qui-vive pour contrecarrer les actes abominables de ces individus sans foi, ni loi. Vu que certaines capitales, engagées dans la lutte contre le terrorisme paie un lourd tribut, nos autorités doivent redoubler de vigilance. Il y a lieu pour nos forces de sécurité, au niveau des postes de contrôle, de vérifier convenablement l’identité des passagers et de procéder à des fouilles de bagages et même corporelles.
Aussi, au général du bois, pardon, au ministre Sada Samaké, de sortir de sa logique de contrecarrer un éventuel coup d’Etat contre IBK pour se mettre au travail afin de protéger les populations et leurs biens. Cela, par la prise de mesures sécuritaires idoines en incitant les forces de sécurité à jouer pleinement leur rôle pour sécuriser les populations, au lieu de les martyriser pour des jetons.
Aujourd’hui, il est temps pour le ministre sortit des bois de mettre les forces de sécurité dans les meilleures conditions afin qu’elles accomplissent convenablement leur mission régalienne. C’est en cela, que les autorités pourront juguler les risques d’attentats jihadistes.
Aujourd’hui, vu la force de nuisance de ces bandits, il convient de prendre les mesures qui s’imposent pour mettre à mal ces «fous de Dieu». Même en prenant des mesures les plus sinistres, pourvu que le mal soit écarté, pour permettre au Mali de retrouver sa quiétude d’antan.
Le Borgne
Source: L'oeil du Mali
Iyad Ag Ghaly, le chef d'Ansar Dine[/caption]
Depuis le jeudi dernier, la ville de Bamako a été mise en alerte en raison des rumeurs d’une menace d’attentats contre les positions des Fama et ceux jugés comme les «ennemis de Dieu». Ainsi, s’en suit le ballet des texto des différentes chancelleries appelant leurs ressortissants à rester vigilants. Bamako sur le qui-vive ?
Sincèrement, personne ne pourra répondre à cette question. À part les milieux sécuritaires et diplomatiques, préoccupés par cette alerte d’attentats, tout allait de bon train jeudi et vendredi derniers pour les populations soucieuses de préparer la fête de Ramadan. En réalité, connaissant la force de frappe de ces jihadistes et principalement d’Ançar Eddine d’Iyad Ag Ghaly, Bamako n’échappe pas à un attentat terroriste et la menace doit être prise au sérieux. Surtout, qu’on note l’arrestation d’un présumé jihadiste à Ouan dans le cercle de San et qui s’affiche comme l’un des émissaires d’Iyad Ag Ghaly et des menaces d’attentats proférées sur le site mauritanien contre les Fama et les «ennemis de Dieu».
Les forces de défense et sécurité maliennes doivent être sur le qui-vive pour contrecarrer les actes abominables de ces individus sans foi, ni loi. Vu que certaines capitales, engagées dans la lutte contre le terrorisme paie un lourd tribut, nos autorités doivent redoubler de vigilance. Il y a lieu pour nos forces de sécurité, au niveau des postes de contrôle, de vérifier convenablement l’identité des passagers et de procéder à des fouilles de bagages et même corporelles.
Aussi, au général du bois, pardon, au ministre Sada Samaké, de sortir de sa logique de contrecarrer un éventuel coup d’Etat contre IBK pour se mettre au travail afin de protéger les populations et leurs biens. Cela, par la prise de mesures sécuritaires idoines en incitant les forces de sécurité à jouer pleinement leur rôle pour sécuriser les populations, au lieu de les martyriser pour des jetons.
Aujourd’hui, il est temps pour le ministre sortit des bois de mettre les forces de sécurité dans les meilleures conditions afin qu’elles accomplissent convenablement leur mission régalienne. C’est en cela, que les autorités pourront juguler les risques d’attentats jihadistes.
Aujourd’hui, vu la force de nuisance de ces bandits, il convient de prendre les mesures qui s’imposent pour mettre à mal ces «fous de Dieu». Même en prenant des mesures les plus sinistres, pourvu que le mal soit écarté, pour permettre au Mali de retrouver sa quiétude d’antan.
Le Borgne
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