Nouvelles brèves : Escalade de la tension au nord Mali
[caption id="attachment_18824" align="alignleft" width="460" caption="Nicolas Sarkozy"]
[/caption]
Sarkozy au secours d’ATT
Face à l’escalade de la tension dans le septentrion Mali, l’émissaire du président français Nicolas Sarkozy a débarqué à Bamako. Objectif : apporter le soutien du chef de l’Hexagone aux autorités maliennes. Quel soutien ! Une manière pour la France d’être solidaire de notre pays.
Henry de Raincourt, puisqu’il s’agit de lui, a demandé le cessez-le-feu et condamné les atrocités commises contre les soldats maliens de la part des rebelles.
Contrairement aux versions admises, les combats à Aguel’hoc et Léré ont été d’une rare violence eu égard aux atrocités commises. L’armée malienne ne se relèvera pas de si tôt d’une telle férocité car les meurtres perpétrés resteront longtemps gravés dans la mémoire collective des Maliens.
Le ministre français chargé de la coopération Henry de Raincourt a déclaré, à Koulouba, qu’il faut des rencontres, faire des évaluations et savoir ce dont il s’agit. Pour lui, il faut une discussion confiante, et réaliste. Et de dire : « On ne peut pas parler quand les canons tonnent ». Il a ensuite dit que les atrocités sont clairement fortement condamnées parla France.
Selon lui, seul l’unité et des institutions préservées comptent. Un réconfort moral pour ATT non !
[/caption]
Sarkozy au secours d’ATT
Face à l’escalade de la tension dans le septentrion Mali, l’émissaire du président français Nicolas Sarkozy a débarqué à Bamako. Objectif : apporter le soutien du chef de l’Hexagone aux autorités maliennes. Quel soutien ! Une manière pour la France d’être solidaire de notre pays.
Henry de Raincourt, puisqu’il s’agit de lui, a demandé le cessez-le-feu et condamné les atrocités commises contre les soldats maliens de la part des rebelles.
Contrairement aux versions admises, les combats à Aguel’hoc et Léré ont été d’une rare violence eu égard aux atrocités commises. L’armée malienne ne se relèvera pas de si tôt d’une telle férocité car les meurtres perpétrés resteront longtemps gravés dans la mémoire collective des Maliens.
Le ministre français chargé de la coopération Henry de Raincourt a déclaré, à Koulouba, qu’il faut des rencontres, faire des évaluations et savoir ce dont il s’agit. Pour lui, il faut une discussion confiante, et réaliste. Et de dire : « On ne peut pas parler quand les canons tonnent ». Il a ensuite dit que les atrocités sont clairement fortement condamnées parla France.
Selon lui, seul l’unité et des institutions préservées comptent. Un réconfort moral pour ATT non !
Quelle est votre réaction ?
