Propos mémorables : Boya Dembélé, Président du Tribunal de Première Instance de Koutiala, à l’occasion de la rentrée judiciaire 2003-2004 :
Amadou Toumani Touré, Président du CTSP
« Depuis que Moussa Traoré est tombé, nous assistons à une prolifération d’hommes braves ». Bakary Karembé, ancien Secrétaire général de l’UNTM (Mai 2000) « Moussa Traoré avait presque accepté de démettre le gouvernement, proposant en sourdine des portefeuilles aux plus affamés d’entre nous. Histoire d’aiguiser l’appétit ! Nous avons dit « non » sachant bien que certains étaient bien tentés ».Feu Me Demba Diallo, ex-médiateur de la République
« Vieil avocat militant, écrivain et journaliste, je m’honore d’avoir été aux côtés de la quasi-totalité des journalistes maliens poursuivis en justice en raison de leurs activités professionnelles. S’il est vrai que l’un d’eux m’a payé en monnaie de singe par des écrits diffamatoires et même calomnieux, tous mes autres jeunes clients sont devenus des amis sincères et enthousiastes ». Pr. Mohamed Lamine Traoré, Secrétaire national du MIRIA (1999) « Il est impossible de faire du neuf avec du vieux » Pr. Mohamed Lamine Traoré, Secrétaire général du MIRIA (1999) « Au MIRIA, nous restons convaincus que le changement ne saurait jamais être un simple slogan de circonstance et la lutte contre la corruption, un effet de mode ou de marketing politique ». Soumeylou Boubèye Maïga (2001) « Au moment de la lutte contre le régime de Moussa, les associations, les organisations, les syndicats, les simples citoyens ont estimé devoir rassembler leurs énergies, leurs efforts pour vaincre le régime... une fois que cet objectif a été atteint, chacun va dans son camp ».Thierno Hady Thiam (prêcheur) 1999
« Le drame de l’islam au Mali, c’est que les leaders islamiques se sont préoccupés de problèmes d’homme à homme plutôt que de Dieu. Quand l’amour de ce bas monde prédomine, quand la crainte de la pauvreté assaille, alors le vrai message de l’islam est terni ». Yacouba Diakité, militant AJDP (2001) « Nous, jeunes, avons aujourd’hui, le sentiment d’être les laissés pour compter de la démocratie. D’autres, qui, en réalité n’ont rien fait en 1991, se retrouvent aujourd’hui en train de savourer les délices de la démocratie ». Boubacar SankaréQuelle est votre réaction ?
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