Reconquête du nord du Mali : Iyad Ag Ghali, la mort ou la CPI

La reconquête du Nord enclenchée par l’Armée malienne et en voie de parachèvement par les soldats français très applaudie par les Maliens redonne l’espoir à tout un peuple. Un peuple dont la moitié a souffert des affres de la faim en grande partie due aux inconséquences des putschistes du 22 mars. [caption id="attachment_102489" align="alignleft" width="250"] Iyad Ag Ghaly, le chef d'Ansar Dine, à Kidal, dans le nord du Mali, le 7 août 2012
© AFP[/caption] Des putschistes qui ont provoqué et permis la partition du pays. Fort heureusement, l’intervention militaire de la France est en train de redonner espoir à tout un peuple, malgré la résistance de certains islamistes qui continuent de se donner l’illusion de pouvoir tenir tête encore longtemps aux soldats français auxquels vont  se joindre les troupes de la Cedeao les semaines où jours à venir. Mais  cette reconquête du Nord-Mali passe par la mise sous l’éteignoir d’Iyad Ag Ghali. En effet, Saddam Hussein et Mohamamr Kaddafi  avaient des ennemis jurés : Georges Bush et Nicolas Sarkozy. En effet, alors que l’ancien Rais irakien était traqué et éliminé par Georges W. Bush dans l’opération ‘‘Tempête du Désert’’, le Guide de la Jamahyra  libyenne, se faisait déposer par la France de Nicolas Sarkozy. Aujourd’hui, pour que le triomphe de l’armée malienne soit total et que les Maliens vivent dans la quiétude totale, sans aucune épée de Damoclès au dessus de leurs têtes, François Hollande doit demander à ses troupes de mettre la main sur Ag Ghali dont la responsabilité est très grande dans le conflit actuel qui oppose le Mali aux terroristes. En tout cas, Si les dernières informations selon lesquels Iyad se serait refugié au Burkina Faso se vérifient, il n’échappera pas à la justice. Aliou Touré