Tessalit pris par les bandits du MNLA/AQMI !!! : A cause d’un repli tactique de l’Armée…
[caption id="attachment_52497" align="alignleft" width="344" caption="Des soldats de l'armée malienne. AFP/Kambou SIA"]
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Cela s’est passé dans la soirée du samedi. Comme d‘habitude, le PC Opérationnel somme ses troupes à ce genre de replis tactique pour pouvoir prendre en tenaille els insurgés. Au moment où nous bouclons cette édition, l’information a été confirmée par une voie autorisée au département de la Défense. Une donne qui va inéluctablement chambouler la donne dans la guerre et même pour l’élection présidentielle du 29 avril prochain que le pouvoir central de Bamako veut s’entêter à organiser. A moins que la réplique soit immédiate et cinglante à la hauteur de l’affront. « Il faut dire que depuis le début de conflit le 17 janvier dernier, les bandits armés n’ont jamais réussis à s’installer longtemps dans une ville au campement. Et Tessalit ne fera pas exception à la règle », nous confie un spécialiste.
En réalité, indiquent nos sources, le Colonel Major Gaston Damango qui est parvenu à renforcer ses camarades du camp d’Amachache jeudi dernier, voyant que les bandits étaient plus nombreux et pour épargner des vies humaines, surtout des civiles, s’est replié à In Halil à 80 km de la frontière Algérienne.
Au même moment, le Colonel Major El Hadj Gamou s’est replié à Kidal après avoir quitté Gao sur recommandation du PC Opérationnel. Quant à Ould Meyddou, il demeure encore dans la cité des Askias. Au moment où nous bouclons cette édition, les bandits armés se sont emparés du camp militaire d’Amachahche en attendant le déluge de feu que l’Armée prépare activement pour en finir avec eux. En tout dans cette partie du pays, à croire nos informations.
Selon nos informations, la prise de Tessalit par els bandits armés, une information relayée par le MNLA et ses supporters, est à prendre avec des pincettes. « Elle n’est pas définitive », nous confie une source militaire. « Nous leur réservons une grosse surprise », a poursuit la même source. Si la prise du camp a eu lieu, à en croire des sources généralement informées, c’est par ce que els renforts tant attendus n’étaient pas parvenus ainsi que les matériels qu’attend notre vaillante armée. D’ailleurs, nos informations font état que ces matériels sont entrain d‘être acheminé sur le terrain. Est-ce à dire que c’est sur ces matériels que le Chef suprême des Armées au cours des festivités du 08 mars devant un parterre de femmes a laissé entendre ceci : « Je n’ai pas encore commencer la guerre. Et ce sera pour bientôt ! ». Enfin, nos sources précisent que le Colonel Major Gaston Damango et ses hommes qui appuyaient ceux du camp, se sont farouchement battus contre les envahisseurs pour se raviver qu’ils devaient battre en retraite sous peine d’être pris par le piège de l’ennemi.
Ce qui est sûr et certain précisent nos sources, la bataille pour le contrôle de Tessalit (camp militaire et la ville), est loin d’être terminée. Et pour cause, l’Armée s’apprête à donner l’assaut dans les heures à venir.
La grande différence d’Aguel’Hoc, Ménaka ou de Léré, Tessalit est une zone militaire trop convoitée. Il reste à savoir quelle sera la réplique par nos forces armées pour la récupérer ?
Wait and see !
Bokari Dicko
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Cela s’est passé dans la soirée du samedi. Comme d‘habitude, le PC Opérationnel somme ses troupes à ce genre de replis tactique pour pouvoir prendre en tenaille els insurgés. Au moment où nous bouclons cette édition, l’information a été confirmée par une voie autorisée au département de la Défense. Une donne qui va inéluctablement chambouler la donne dans la guerre et même pour l’élection présidentielle du 29 avril prochain que le pouvoir central de Bamako veut s’entêter à organiser. A moins que la réplique soit immédiate et cinglante à la hauteur de l’affront. « Il faut dire que depuis le début de conflit le 17 janvier dernier, les bandits armés n’ont jamais réussis à s’installer longtemps dans une ville au campement. Et Tessalit ne fera pas exception à la règle », nous confie un spécialiste.
En réalité, indiquent nos sources, le Colonel Major Gaston Damango qui est parvenu à renforcer ses camarades du camp d’Amachache jeudi dernier, voyant que les bandits étaient plus nombreux et pour épargner des vies humaines, surtout des civiles, s’est replié à In Halil à 80 km de la frontière Algérienne.
Au même moment, le Colonel Major El Hadj Gamou s’est replié à Kidal après avoir quitté Gao sur recommandation du PC Opérationnel. Quant à Ould Meyddou, il demeure encore dans la cité des Askias. Au moment où nous bouclons cette édition, les bandits armés se sont emparés du camp militaire d’Amachahche en attendant le déluge de feu que l’Armée prépare activement pour en finir avec eux. En tout dans cette partie du pays, à croire nos informations.
Selon nos informations, la prise de Tessalit par els bandits armés, une information relayée par le MNLA et ses supporters, est à prendre avec des pincettes. « Elle n’est pas définitive », nous confie une source militaire. « Nous leur réservons une grosse surprise », a poursuit la même source. Si la prise du camp a eu lieu, à en croire des sources généralement informées, c’est par ce que els renforts tant attendus n’étaient pas parvenus ainsi que les matériels qu’attend notre vaillante armée. D’ailleurs, nos informations font état que ces matériels sont entrain d‘être acheminé sur le terrain. Est-ce à dire que c’est sur ces matériels que le Chef suprême des Armées au cours des festivités du 08 mars devant un parterre de femmes a laissé entendre ceci : « Je n’ai pas encore commencer la guerre. Et ce sera pour bientôt ! ». Enfin, nos sources précisent que le Colonel Major Gaston Damango et ses hommes qui appuyaient ceux du camp, se sont farouchement battus contre les envahisseurs pour se raviver qu’ils devaient battre en retraite sous peine d’être pris par le piège de l’ennemi.
Ce qui est sûr et certain précisent nos sources, la bataille pour le contrôle de Tessalit (camp militaire et la ville), est loin d’être terminée. Et pour cause, l’Armée s’apprête à donner l’assaut dans les heures à venir.
La grande différence d’Aguel’Hoc, Ménaka ou de Léré, Tessalit est une zone militaire trop convoitée. Il reste à savoir quelle sera la réplique par nos forces armées pour la récupérer ?
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