ALERTE : La ville de KONNA définitivement libérée (ORTM)

Jan 17, 2013 - 04:51
Jan 17, 2013 - 19:04
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Ce suivi en direct de l'opération militaire  dite Serval, est désormais terminé. Merci de l'avoir suivi si nombreux et rendez-vous jeudi matin pour les toutes dernières informations sur ce conflit. ORTM, Bamako - La ville de Konna a été libérée.  Aucun poste de résistance [par les jihadistes] n'est visible sur ce site, selon une information diffusée sur la télévision malienne.  A suivre...   Les ministres des Affaires étrangères européens et leur homologue malien sont réunis à Bruxelles pour évoquer la situation au Mali. Les dernières informations en direct.
18h47 : Les premiers soldats de la force armée ouest-africaine sont arrivés au Mali. Ces 40 militaires sont de nationalité togolaise. Ces soldats sont arrivés à l'aéroport de Bamako où ils ont été accueillis par des militaires maliens et français. La force ouest-africaine qui comprendra plus de 3 000 hommes - plus 2000 soldats tchadiens - devra prendre à terme le relais de l'armée française qui intervient au Mali depuis le 11 janvier.
18h38 :Les autorités tunisiennes ont renforcé la sécurité autour de l'ambassade et des bâtiments officiels français, a-t-on appris auprès du ministère tunisien de l'Intérieur."Il est normal que la sécurité soit renforcée autour des institutions françaises à la suite de l'intervention armée de la France au Mali", a déclaré à l'AFP Khaled Tarrouche, porte-parole du ministère de l'Intérieur.
18h32 :Conséquence ou non de l'intervention française au Malil'armée de Terre a lancé sa campagne nationale de recrutement sur trois ans, avec pour premier objectif de recruter dès 2013 environ 10 000 jeunes, hommes et femmes, souvent à la recherche d'une première expérience professionnelle. Avec un slogan "Pour moi, pour les autres sengager.fr", deux spots télévisés et un site Internet entièrement refondu, l'armée de Terre espère susciter entre 100 000 et 120 000 candidatures ou "contacts" par an, pour préserver un taux de sélection suffisant. 108 Centres d'information et de recrutement des forces armées (Cirfa) sont répartis sur tout le territoire.
18h12 :La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a formé une force d'intervention, conformément à une résolution de l'ONU,pour aider Bamako à reprendre le contrôle du Nord du Mali, occupé par plusieurs groupes islamistes armés.Cette force, baptisée Mission internationale de soutien au Mali (Misma), sera dirigée par un général nigérian, Shehu Abdulkadir. Elle doit compter à terme plus de 3000 hommes. D'ici le 26 janvier, quelque 2000 soldats sont attendus dans la capitale malienne.
17h58 :Laurent Fabius s'est exprimé devant la presse à l'issue du Conseil des ministres des Affaires étrangères européens à Bruxelles. Revivez cette conférence.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=K6z5p78gn08[/youtube]
17h48 :Un nouveau Conseil de défense, le cinquième depuis le début de l'intervention française au Mali, se tiendra vendredi à l'Elysée, avant que le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian rencontre des forces spéciales dans l'après-midi en Bretagne.Jean-Yves Le Drian se rendra à Lorient vendredi, "afin de visiter la base opérationnelle des fusiliers marins et commandos (BASEFUSCO)" à partir de 14H45, indique le ministère dans un communiqué. Il aura ensuite un "échange avec la presse", vers 16H30.Le Conseil de défense sera réuni à l'Elysée avant cette visite, précise le ministère, sans donner plus de détails.
17h45 :Mali, mariage gay, non-cumul des mandats. Ces trois sujets n'ont pas grand-chose à voir entre eux, si ce n'est qu'ils illustrent la volonté du chef de l'Etat de se débarrasser de l'étiquette d'un homme manquant d'autorité. >>Lire notre article: Hollande ne craint pas "la confrontation"
  17h34 : Comme Catherine Ashton, le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a estimé que des pays européens pourraient mettre à disposition des soldats pour l'intervention au Mali contre les islamistes armés. Il est "tout à fait possible que des pays européens décident non seulement d'apporter de la logistique, mais aussi de mettre à disposition des soldats", selon Laurent Fabius. Le ministre a cependant ajouté que la France ne pouvait "pas les forcer à le faire".
17h17 : La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton a affirmé queplusieurs pays européens n'excluaient pas d'apporter un soutien militaire à la France dans son intervention au Mali.
Un certain nombre de pays ont dit très clairement qu'ils étaient prêts à soutenir la France par tous les moyens, et ils n'ont pas exclu un soutien militaire. La France n'est pas seule (...) elle a agi exactement comme il le fallait en répondant à une demande du Mali. [L'Union européenne a été] unanime pour saluer la réponse rapide de la France.
Catherine Ashton, chef de la diplomatie européenne
17h01 : Les Européens ont lancé une mission de soutien à l'armée malienne et se sont engagés sur de nouveaux moyens d'aide à Bamako. Le rôle précurseur de la France au Mali a été salué par les pays du Vieux Continent. Réunis à Bruxelles, les ministres des Affaires étrangères des 27 ont décidé à l'unanimité d'accélérer le déploiement des 450 Européens de la mission EUTM (European Union Training Mission) qui ambitionne de remettre sur pied l'armée malienne. "Sa reconstruction est urgente", ont-ils estimé dans les conclusions de leurs travaux. L'objectif est désormais de la rendre opérationnelle "au plus tard à la mi-février", ont-ils demandé. Une dizaine de pays ont annoncé leur intention de fournir des hommes et du matériel à cette mission dirigée par le général français François Lecointre, un vétéran des opérations à l'étranger, du Rwanda à la Côte d'Ivoire.
16h41 : Un correspondant de France 24 a publié sur son compte Twitter un texte à l'orthographe incertaine dans lequel les djihadistes du Mali ironisent sur l'intervention de la France dans le pays.
16h29 :L'intervention militaire française au Mali pèsera lourdement sur le budget des opérations extérieures des armées (Opex) et révèle déjà des insuffisances en matière de transports, un domaine pour lequel la France est contrainte de faire appel à ses alliés.Combien coûte l'intervention ? "Je ne peux pas l'évaluer encore. Tout cela sera public, évidemment" a affirmé le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, une semaine après le début des opérations. Celui-ci a déjà prévenu que l'engagement "sera long". Concrètement, les crédits dédiés aux Opérations extérieures (Opex) pour 2013 s'élevent à 630 millions d'euros. Ils sont en baisse d'environ 90 millions par rapport à 2012, en raison du retrait français d'Afghanistan. Mais les économies escomptées grâce au retrait afghan devraient être effacées par l'opération au Mali.
16h23 :Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a salué l'intervention française au Mali, une "action courageuse contre le terrorisme islamiste", dans une conversation téléphonique avec François Hollande, selon un communiqué de ses services. Benyamin Netanyahou a parlé avec le président français "cet après-midi et a salué l'action militaire française en Afrique", selon le texte, indiquant que le Premier ministre israélien a "exprimé ses regrets pour les pertes françaises". "Vous avez entrepris une action courageuse contre le terrorisme islamiste", a déclaré le Premier ministre israélien, ajoutant que "si pour certains pays la menace terroriste est à des milliers de kilomètres des domiciles de leurs citoyens,nous en Israël sommes habitués au terrorisme mondial à quelques centaines de mètres de chez nous".
16h04 : Une réunion de donateurs destinée à soutenir le déploiement de la force africaine au Mali (Misma) se tiendra le 29 janvier à Addis Abeba, la capitale de l'Ethiopie, au lendemain de la clôture d'un Sommet de l'Union africaine (UA), a annoncé cette dernière dans un communiqué. Cette conférence "donnera l'occasion de mobiliser des ressources et autre soutiens nécessaires aux forces de défense et de sécurité maliennes, ainsi que pour la Misma", indique la Commission de l'UA dans un communiqué, publié après une rencontre avec celle de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao).  
15h49 :Laurent Fabius assure que "tous les pays européens" ont "salué l'action de la France" au Mali. "Les Français ne sont pas seuls, ils sont les précurseurs", a affirmé le ministre des Affaires étrangères, après avoir quitté une réunion avec ses homologues européens consacrée au soutien de l'Union européenne aux opérations engagées pour venir en aide au Mali.
15h42 :François Beaudonnet, un correspondant de France 2, est à Bruxelles poursuivre la conférence de presse de Laurent Fabius.
5h34 : La France souhaite que l'aide du Canada à son intervention au Mali, sous la forme de la participation d'un avion géant C17 au transport de troupes, prévue pour durer une semaine, soit prolongée sans être limitée dans le temps, a indiqué jeudi son ambassadeur à Ottawa. Soulignant "la nécessité absolue" de bénéficier de cette assistance, Philippe Zeller a indiqué à la chaîne publique CBC avoir fourni mercredi au chef de la diplomatie canadienne, John Baird, "tous les éléments d'information" indispensables pour que le gouvernement canadien puisse prendre cette décision. John Baird lui-même avait dit mercredi que le Canada était "ouvert" à la possibilité d'apporter une autre contribution à l'opération au Mali.
15h29 : D'après un correspondant de Ouest-France à Bruxelles, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a affirmé lors de sa conférence de presse dans la capitale belge que les adversaires que combattent les soldats maliens et français au Mali relèvent du "narco-terrorisme".
 Coulibaly met "le doigt sur le mal malien : le trafic de drogues". Fabius confirme : "sommes en face d'un narco-terrorisme"
15h22 : Le ministre malien des Affaires étrangères, Tieman Coulibaly, a affirmé à Bruxelles que la présence des groupes islamistes liés à al-Qaïda dans son pays constituait une "menace globale". "Aujourd'hui, il s'agit de mobiliser la communauté internationale tout entière pour venir en aide à notre pays, mais aussi pour venir en aide à toute la sous-région car ce qui se passe au Mali est une menace globale", a déclaré Tieman Coulibaly lors d'une conférence de presse, à l'issue d'une réunion des ministres européens des Affaires étrangères à laquelle il venait d'assister. Le ministre malien a également estimé que les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis avaient "prouvé que le terrorisme peut agir partout, à n'importe quel moment, contre n'importe qui".
14h57 : Le député de Paris Pierre Lellouche (UMP), président du groupe Sahel à l'Assemblée nationale, a estimé sur France Inter que le problème malien se retrouvait "sur la totalité du Sahel".
Ce qui se passe au Nord-Mali, on le retrouve sur la totalité du Sahel. C'est-à-dire qu'il y a des groupes terroristes djihadistes ou mafieux, ou les deux, qui travaillent dans différents pays, y compris dans le nord du Nigeria [où agit le groupe islamiste Boko Haram]. Il faut savoir d'abord qu'Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique), qui travaille au Nord-Mali, est le continuateur direct du GSPC, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat, qui est un groupe algérien au départ. [Il y a donc des combattants algériens parmi] les djihadistes au Nord-Mali et Aqmi [si bien que la prise d'otages] est clairement [le fait] d'une antenne qui se réclame aussi d'Aqmi ou d'Al-Qaïda qui travaille à l'intérieur de l'Algérie.
Pierre Lellouche, président du groupe Sahel à l'Assemblée nationale 14h44 : Les ministres des Affaires étrangères européens et leur homologue malien sont réunis en ce moment à Bruxelles pour évoquer la situation au Mali. Laurent Fabius s'apprête à tenir un point presse depuis la capitale belge.
Je ferai à 14h45 un point presse depuis Bruxelles sur la situation au#Mali #CAE
14h27 : Un correspondant de Ouest-France à Bruxelles indique que l'Italie met notamment à disposition deux avions C130 Hercules dans le cadre de l'opération Serval, qui lutte contre les djihadistes au Mali.
14h20 : Le président malien par intérim Dioncounda Traoré participera demain à Abidjan, en Côte d'Ivoire au sommet de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest sur la situation du Mali.
MALI | le Pdt de la transition, le Pr. #DioncoundaTraoré se rend demain à #Abidjan, RCI, pour participer au Sommet de la #CEDEAO sur le Mali -- Presidence Mali (@PresidenceMali) January 17, 2013
14h06 : Le point sur l'intervention militaire au Mali avec notre carte interactive.
13h16 : Aux djihadistes arabes sont venus se joindre des recrues d'Afrique noire. Marc Trévidic, juge d'instruction au pôle antiterroriste de Paris, analyse ces nouvelles menaces pour L'Express alors que l'intervention militaire française au Mali dure depuis une semaine.
13h12 :"Deux cents éléments des forces spéciales tchadiennes", sur les 2000 hommes promis par le Tchad, "ont quitté hier soir N'Djamena et ils sont présentement à la base militaire de Niamey (Niger)" a indiqué une source militaire tchadienne, sous couvert d'anonymat. "Nos éléments sont partis à bord de trois avions, les chars sont transportés dans un C-130, les pick-up dans un Antonov et les troupes ont été embarquées dans un Boeing de la compagnie Toumai Air Tchad", a précisé cette même source.
13h04 :L'organisme de l'influent dignitaire musulman Youssef al-Qaradaoui, basé au Qatar, a critiqué l'intervention "précipitée" de la France au Mali, affirmant qu'elle aurait des "conséquences dangereuses".Dans un communiqué parvenu à l'AFP, l'Union internationale des oulémas musulmans, que préside cheikh Qaradaoui, "critique la précipitation de la France à déclencher la guerre, avant d'avoir épuisé tous les moyens de parvenir à une solution pacifique et à la réconciliation nationale".
13h02 :L'armée malienne a accéléré l'envoi de renforts à Banamba, une localité située à 140 km de la capitale Bamako, après que des rebelles islamistes ont été repérés dans cette région proche de la Mauritanie, ont rapporté à l'agence Reuters des habitants et une source militaire. "Banamba est en état d'alerte. Des renforts ont été envoyés. Les troupes nigérianes qui doivent arriver aujourd'hui à Bamako pourraient y être déployées pour sécuriser la zone", a indiqué à l'agence un haut responsable militaire malien. Un habitant de Banamba a de son côté confirmé l'arrivée de soldats gouvernementaux.
[caption id="attachment_119386" align="aligncenter" width="620"] L’armée malienne est-elle prête pour prendre le relais des forces françaises ? © REUTERS[/caption] Par LEXPRESS.fr
 

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