En un mot : Retour à la case départ
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Dramane Aliou Kone[/caption]
C’est un parfum de retour à la case départ au nord avec la dernière prise d'otages revendiquée par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). Malgré cela, le dialogue est annoncé pour vendredi avec les groupes armés pour lancer le processus de DDR (démobilisation, désarmement, réinsertion).
C’est en somme le retour en grâce des déserteurs de l’armée malienne et surtout des auteurs et complices du massacre de soldats maliens à Aguelhok et d’autres crimes imprescriptibles dans toutes les régions du Nord.
L’annonce des négociations sans préalable par le ministre de la Réconciliation nationale et du Développement des régions du Nord, Cheick Oumar Diarrah, s’inscrit dans la stratégie du président IBK de dire ce que les Maliens veulent entendre pour ensuite faire tout le contraire.
Cela avait été le cas lors la levée de mandats des complices d’Iyad Ag Ghaly, qui siègent aujourd’hui à l’Assemblée nationale sous les couleurs du parti présidentiel comme pour narguer les Maliens.
Ce sont donc les rebelles et terroristes du Nord qui auront toujours le dernier mot quels que soient les crimes qu’ils commettent ? Pauvre Mali !
DAK
Dramane Aliou Kone[/caption]
C’est un parfum de retour à la case départ au nord avec la dernière prise d'otages revendiquée par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). Malgré cela, le dialogue est annoncé pour vendredi avec les groupes armés pour lancer le processus de DDR (démobilisation, désarmement, réinsertion).
C’est en somme le retour en grâce des déserteurs de l’armée malienne et surtout des auteurs et complices du massacre de soldats maliens à Aguelhok et d’autres crimes imprescriptibles dans toutes les régions du Nord.
L’annonce des négociations sans préalable par le ministre de la Réconciliation nationale et du Développement des régions du Nord, Cheick Oumar Diarrah, s’inscrit dans la stratégie du président IBK de dire ce que les Maliens veulent entendre pour ensuite faire tout le contraire.
Cela avait été le cas lors la levée de mandats des complices d’Iyad Ag Ghaly, qui siègent aujourd’hui à l’Assemblée nationale sous les couleurs du parti présidentiel comme pour narguer les Maliens.
Ce sont donc les rebelles et terroristes du Nord qui auront toujours le dernier mot quels que soient les crimes qu’ils commettent ? Pauvre Mali !
DAK Quelle est votre réaction ?
