La stratégie honteuse de Compaoré : Refuser les négociations de la 2ème capitulation
La stratégie du capitaine, Blaise COMPAORE : « Demander aux terroristes de menacer le Mali d’une guerre au sud dont il ne veut pas pour l’obliger à céder à l’esprit et à la lettre des négociations »
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Blaise COMPAORE, Président du Faso, médiateur de la Cedeao[/caption]
S’il ne s’agit que de négocier pour négocier, l’Algérie est mieux indiquée car elle a encore des moyens de pressions et des capacités de dissuasion et de persuasion sur les groupes armés contrairement à COMPAORE qui, lui, est tenu par les c….par ces derniers. Autre avantage non moins important, l’Algérie est claire dans sa position anti-guerre à la différence de COMPAORE qui, lui, brouille toutes les cartes de la résolution de cette crise en rendant compliquée toute prise de décision au sein des instances de la CEDEAO et de l’UA dans les quelles le Burkina est très influent et fait peser de tout son poids sont penchant caché et officieux pour un statuquo à défaut d’une partition qu’il appelle de tous ses vœux. Tant que les autorités maliennes, la CEDEAO et l’UA n’auront pas intégré dans leur démarche de recherche de solution définitive aux problèmes actuels du Mali, la complexité et la dangerosité des relations incestueuses entre Blaise Compaoré et les groupements armés preneurs d’otages et trafiquants de drogue qui sévissent dans le Sahel et au Nord du Mali, il est illusoire d’envisager un quelconque succès. Parce qu’il y va de la survie même de Compaoré et de son régime. Percer les énigmes, comprendre la réalité des agendas cachés, les intégrer dans une démarche globale mais silencieuse, c’est le rôle de la diplomatie animée par des diplomates chevronnés qui sachent mobiliser leurs réseaux relationnels, trouver les mots justes pour habiller et faire partager à grande échelle par les amis du Mali, des messages forts qui les rassurent par la pertinence et l’opportunité tout en désarmant le camp de l’ennemi.
La cohérence politique voudrait donc que la nouvelle « bataille » du MNLA et Ançar Dine contre l’armée malienne, inspirée par COMPAORE pour forcer la main aux autorités maliennes, soit menée et gagnée pour l’honneur et le renforcement de la diplomatie du Mali en attendant la vraie guerre de libération dont notre armée ne pourra pas faire l’économie pour sa crédibilité et pour mériter le renouvellement de la confiance du peuple. C’est le prix à payer pour que les autorités maliennes s’affranchissent de l’hégémonie burkinabé dans sa stratégie honteuse de la « sortie de crise » par les négociations avec des criminels de guerre et des terroristes. L’armée a aujourd’hui les cartes en mains pour déjouer le piège tentaculaire du capitaine sanguinaire de Ouaga dont l’unique but est la partition du Mali. Vivement que 2013 soit inaugurée par des victoires militaires imparables, ainsi la peur changera de camp et le moral des troupes et du peuple sera rehaussé.
Aliou Badara Diarra
Blaise COMPAORE, Président du Faso, médiateur de la Cedeao[/caption]
S’il ne s’agit que de négocier pour négocier, l’Algérie est mieux indiquée car elle a encore des moyens de pressions et des capacités de dissuasion et de persuasion sur les groupes armés contrairement à COMPAORE qui, lui, est tenu par les c….par ces derniers. Autre avantage non moins important, l’Algérie est claire dans sa position anti-guerre à la différence de COMPAORE qui, lui, brouille toutes les cartes de la résolution de cette crise en rendant compliquée toute prise de décision au sein des instances de la CEDEAO et de l’UA dans les quelles le Burkina est très influent et fait peser de tout son poids sont penchant caché et officieux pour un statuquo à défaut d’une partition qu’il appelle de tous ses vœux. Tant que les autorités maliennes, la CEDEAO et l’UA n’auront pas intégré dans leur démarche de recherche de solution définitive aux problèmes actuels du Mali, la complexité et la dangerosité des relations incestueuses entre Blaise Compaoré et les groupements armés preneurs d’otages et trafiquants de drogue qui sévissent dans le Sahel et au Nord du Mali, il est illusoire d’envisager un quelconque succès. Parce qu’il y va de la survie même de Compaoré et de son régime. Percer les énigmes, comprendre la réalité des agendas cachés, les intégrer dans une démarche globale mais silencieuse, c’est le rôle de la diplomatie animée par des diplomates chevronnés qui sachent mobiliser leurs réseaux relationnels, trouver les mots justes pour habiller et faire partager à grande échelle par les amis du Mali, des messages forts qui les rassurent par la pertinence et l’opportunité tout en désarmant le camp de l’ennemi.
La cohérence politique voudrait donc que la nouvelle « bataille » du MNLA et Ançar Dine contre l’armée malienne, inspirée par COMPAORE pour forcer la main aux autorités maliennes, soit menée et gagnée pour l’honneur et le renforcement de la diplomatie du Mali en attendant la vraie guerre de libération dont notre armée ne pourra pas faire l’économie pour sa crédibilité et pour mériter le renouvellement de la confiance du peuple. C’est le prix à payer pour que les autorités maliennes s’affranchissent de l’hégémonie burkinabé dans sa stratégie honteuse de la « sortie de crise » par les négociations avec des criminels de guerre et des terroristes. L’armée a aujourd’hui les cartes en mains pour déjouer le piège tentaculaire du capitaine sanguinaire de Ouaga dont l’unique but est la partition du Mali. Vivement que 2013 soit inaugurée par des victoires militaires imparables, ainsi la peur changera de camp et le moral des troupes et du peuple sera rehaussé.
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